Depuis la révolution iranienne de 1978-1979, sans doute le plus grand mouvement populaire du dernier quart du XXe siècle, la gauche occidentale s’est divisée sur l’appréciation qu’elle pouvait porter sur ces événements et sur le régime mis en place. Ce débat s’est évidemment intensifié avec l’arrivée de Mahmoud Ahmadinejad au pouvoir et encore davantage avec l’élection présidentielle contestée de juin 2009 (Lire Immanuel Wallerstein, « The World Left and the Iranian Elections », Zcommunications, 5 août 2009).
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