Des pyramides gigantesques perdues dans la forêt pluviale ; des temples oubliés envahis par la végétation ; d'imposants blocs de calcaire renversés par les racines d'arbres centenaires. Les images d'Epinal de cités majestueuses reprises par la jungle et la nature sauvage en ont fait l'une des plus captivantes énigmes archéologiques. Pourquoi, vers 850 de notre ère, la civilisation maya classique a-t-elle sombré ? A quelle catastrophe ou quel enchaînement d'événements peut bien tenir ce qui nous semble la fin d'un monde ? En quelques décennies, les dynasties s'éteignent, des centaines de cités-Etats se vident de leur population, des régions habitées pendant un millénaire voient leurs habitants partir pour ne plus revenir. Le pourquoi et le comment de cet effondrement seront au cœur d'un colloque international organisé au Musée du quai Branly les 1er et 2 juillet, dans la foulée de l'exposition "Mayas, de l'aube au crépuscule".
18 juin 2011
"Le Monde Magazine" : Mayas, autodestruction d'une civilisation - LeMonde.fr
Découverte d'un trio de gènes associés à la migraine
PARIS — Une vaste étude génétique a permis d?identifier un trio de gènes associés à une prédisposition à la migraine, selon des chercheurs de l'Inserm.
Tobias Kurth de l'Inserm (Institut national français de la recherche médicale) et ses collaborateurs internationaux, ont identifié trois gènes pour lesquels une variation génétique est associée à un risque accru de migraine, selon des résultats parus en ligne sur le site de la revue Nature Genetics.
Ces résultats, obtenus à partir de données génétiques de 23.230 femmes, dont plus de 5.000 migraineuses suggèrent l'existence de mécanismes communs aux différentes formes de migraines.
La migraine toucherait 20% de la population, soit 11 millions de personnes en France.
La migraine est une variété de maux de tête récurrents caractérisée par une forte intensité des douleurs et la survenue fréquente d'autres symptômes comme des nausées et/ou une sensibilité à la lumière et au bruit. Elle touche 3 à 4 fois plus souvent les femmes que les hommes.
Bien qu'une composante génétique ait été soupçonnée depuis très longtemps, seules des formes rares de migraine ont, jusque-là, été associées à l'expression de gènes.
Les chercheurs ont identifié des associations entre la migraine et des variants de trois gènes "TRPM8, LRP1 et PRDM16". Ces associations génétiques ont été confirmées par l'analyse des données de trois études européennes indépendantes incluant des hommes et des femmes.
"Les personnes présentant ces variations ont donc plus de risque de développer une migraine. Cette association est observée pour les différentes formes de migraines, ce qui montre l'importance de ces résultats de portée générale", selon Tobias Kurth.
Deux des trois gènes sont clairement associés à la migraine (les gènes TRPM8 et LRP1), tandis que le troisième gène (PRDM16) semble jouer un rôle aussi bien dans la migraine que dans d'autres maux de tête.
"Bien que les mécanismes de la migraine restent mal compris et ses causes sous-jacentes difficiles à cerner, l'identification de ces dénominateurs communs permet d'éclairer les origines biologiques de cette affection fréquente et invalidante", souligne le chercheur.
Les chercheurs encouragent désormais la communauté scientifique à mener des études qui permettraient d'expliquer les contributions précises de ces gènes.
17 juin 2011
SYRIE • L'incroyable silence du monde arabe | Courrier international
Aucune condamnation de la répression exercée par le régime de Damas n'a été formulée par les Etats arabes. Pourquoi le cas syrien suscite-t-il un tel manque de réactions ? L'analyse du quotidien suisse Le Temps.
The Beginning of Infinity. Explanations that transform the world par David Deutsch, Allen Lane 2011, - le blog philoscience
La guerre menée contre la science par le SystèmeMais nous pensons qu'il faut aller plus loin dans la critique politique, afin de comprendre pourquoi la méthode scientifique - à propos de laquelle nous rereprendrons les excellentes approches épistémologiques de David Deutsch (lui-même très inspiré par le dernier Karl Popper), se heurte aujourd'hui à un véritable effort de destruction, analogue à celui ayant entraîné la chute des premières Lumières, celles de la civilisation athénienne, sous les offensives de la ville de Sparte entièrement tournée vers la conquête militaire.
David Deutsch (tout au moins dans son livre qui par la force des choses ne peut tenir compte des évènements politico-économiques les plus récents) n'insiste pas assez selon nous sur les causes de la mise en question actuelle de la méthode et de la pratique scientifique. Nous évoquons ici ce véritable cancer qui s'est étendu sur la planète entière avec la prise du pouvoir politique par la troïka des trois oligarchies associées, celles de la richesse, du capital financier et des médias.
Le mécanisme de cette prise de pouvoir est simple. Il s'est mis en place très rapidement. L'objectif en est de mobiliser la force de travail du monde en ne laissant aux travailleurs de la base, quels qu'ils soient, manuels ou intellectuels, qu'un minimum vital dépendant du niveau de développement des sociétés auxquels ils appartiennent. Le surplus est détourné et accumulé au profit des trois parties de la troïka. Pour les membres de celle-ci, en dehors des investissements militaires et de sécurité qui leur sont indispensables, ne comptent plus que les technologies s'inscrivant dans une perspective simple: produire en 2 ou 3 ans des résultats susceptibles de rapporter des taux d'intérêts de plus de 10%, par exemple dans tous les services privatisés pour riches ou dans des domaines comme la cosmétique susceptibles d'appâter un grand nombre de consommateurs illusionnés.
Heureux à en mourir - Achille Weinberg, article Psychologie
Les pays les plus heureux sont ceux où l’on se suicide le plus ! Tel est l’étonnant paradoxe mis au jour par une équipe de chercheurs britanniques et américains.
Depuis quelques années, les cartes du bonheur se sont multipliées. Elles classent les pays en fonction du niveau de bien-être ressenti par leur population. Par exemple en Europe, les populations nordiques – Suède, Norvège, Danemark – éprouvent un bien-être subjectif bien supérieur à celui ressenti par celles des pays du Sud.
Mais ces classements ont aussi révélé un paradoxe : dans des pays où il fait apparemment bon vivre, le taux de suicide est également très élevé. Ainsi, des pays comme le Canada, la Suisse, l’Irlande ou le Danemark, bien classés dans l’échelle du bonheur, sont aussi des pays où le niveau des suicides est parmi les plus élevés. Les nations les plus heureuses seraient donc celles où l’on se suicide le plus !
Face à cet étonnant constat, une équipe de chercheurs a cherché à savoir s’il n’y avait pas là un biais statistique lié à des modes de calcul différents des suicides selon les pays. Ces chercheurs, britanniques et américains, ont donc repris le problème sur un seul et vaste territoire : celui des États-Unis et à partir d’une vaste enquête impliquant plus de 1 million de personnes réparties sur tout le territoire. Or la corrélation se vérifie toujours ! Par exemple, l’Utah, en tête des 52 États américains dans les enquêtes de « life-satisfaction », arrive en 9e position pour son taux de suicide. À l’inverse, l’État de New York, qui est 45e pour ce qui est du bien-être ressenti de sa population, est aussi celui qui a le plus bas taux de suicide de tout le pays.
Les chercheurs ont encore voulu creuser l’analyse en cherchant à neutraliser statistiquement les différences de population (âge, niveau de revenu, composition ethnique…) afin de rendre les populations étudiées plus homogènes. Mais même avec ces ajustements statistiques, le paradoxe persiste. Ainsi, après ajustement, Hawaii se classe 2e en terme de « life-satisfaction » mais son taux de suicide est le 5e. Le New Jersey, où il ne semble pas faire bon vivre – 47e rang –, occupe également le 47e rang en ce qui concerne le taux de suicide.
À quoi cet étrange phénomène est-il donc dû ? Les chercheurs eux-mêmes ont du mal à l’expliquer. Stephen Wu, de l’université Hamilton (États-Unis), qui a fait partie des auteurs de l’enquête, suggère une hypothèse liée à la comparaison sociale. « Les gens malheureux qui vivent dans un petit paradis ressentent encore plus durement leur malheur. » Et c’est ce contraste entre leur situation et celle des gens qui les entourent qui pourrait augmenter la tendance au suicide.
Mary C. Daly, Andrew J. Oswald, Daniel Wilson et Stephen Wu, « Dark contrasts: The paradox of high rates of suicide in happy places », Journal of Economic Behavior & Organization, vol. LXXVIII, n° 3, à paraître.
16 juin 2011
La philosophie ne sert à rien mais est essentielle | Atlantico
La temps de la philosophie est absolument inutile ; et en cela, est indispensable.
La légalisation du cannabis est à double tranchant | Atlantico
Les Pays-Bas et le Portugal, des trafics en augmentation constante
Tous les partisans du cannabis citent en exemple les Pays-Bas et le Portugal comme modèles. Regardons-y de plus près, sur la question spécifique de l’effet de la législation permissive sur le niveau des trafics illicites.
Concernant le Portugal, en 2008, les saisies de résine de cannabis (sans parler des autres formes de cette drogue) étaient deux fois plus élevées qu’en 2003 (61 tonnes contre 31)... Dans le même temps, les saisies de cocaïne explosaient dans ce pays. Le nombre de procédures pénales pour trafic de stupéfiants – et non pas pour usage – y est resté très stable sur cette période. Fait très intéressant, rapporté à sa population, il y a 3,5 fois plus de trafiquants de drogue interpellés au Portugal qu’en France. En ce qui concerne la Hollande, près de 2,5 fois plus de résine de cannabis était saisie en 2008 par rapport à 2003. Et également deux fois plus d’héroïne…
Ces données officielles provenant de l’United Nations Office on Drugs and Crime (www.unodc.org) démontrent que les politiques laxistes en matière de cannabis n’ont absolument aucun effet positif sur la baisse des trafics illicites de cette drogue, bien au contraire. Et la mise en place d’une « filière » du cannabis ne pourra qu’offrir un intérêt supplémentaire aux trafiquants.
14 juin 2011
Blog de Paul Jorion » PRÉVOIR JUSTE, JUSQU’À L’ÉCOEUREMENT = il se prend la grosse tête le Paul Jorion la !
Si vous en avez la curiosité, remontez aux premiers billets du blog en février et mars 2007, vous verrez que le ton de ces billets est souvent celui-ci : renvoyant à mon livre La crise du capitalisme américain qui venait alors de paraître, je dis : « Regardez ! Vous voyez que j’avais raison de prévoir une crise d’une ampleur inouïe ! ». Mon premier billet s’appelle d’ailleurs de manière un peu triomphaliste : « Le déclenchement de la crise du capitalisme américain ».
Mon ton était sans doute excusable : mon manuscrit achevé au printemps 2005 avait dû attendre près de deux ans avant d’être publié, et durant cette période, j’ai souvent désespéré qu’il le soit jamais.
Le petit jeu de la prévision juste qui débouche sur la reconnaissance d’avoir eu raison m’a rapidement lassé et il débouche aujourd’hui sur l’écœurement pur et simple. La raison n’en est pas très compliquée : si j’annonçais les catastrophes à venir, ce n’était pas pour devenir le Nostradamus des temps modernes : c’était pour lancer des cris d’alarme dont j’espérais qu’on tiendrait compte. Ma satisfaction aurait été dans le fait que mes prévisions ne se réalisent pas, parce que mes avertissements auraient été non seulement pris au sérieux (ils l’ont souvent été), mais auraient conduit à ce que des mesures soient prises qui en empêchent la réalisation (ce qui ne fut pas le cas) : les politiques suivies ont été celles d’une tentative pathétique de reconstruire à l’identique un système bon en réalité pour la casse, complétées d’atermoiements indéfiniment renouvelés.
Remontez cette fois au mois de février de l’année dernière. Le 3, sur France 24 : « Je dis qu’il y a à nouveau un petit jeu sur les Credit-default swaps (CDS). Cette fois, ce n’est plus 1) Bear Stearns, 2) Lehman Brothers, 3) Merrill Lynch, c’est 1) Grèce, 2) Portugal, 3) Espagne ». Le 4, à Ce soir ou jamais, mon engueulade avec Éric Woerth, où je lui dis que tout cela servira de prétexte pour la suppression du bouclier social. Le 8 février, dans mon billet sur BFM, intitulé « Cronos dévorant l’un de ses enfants » : « Certaines de ces firmes s’assurent contre un risque qu’elles courent réellement si elles possèdent de la dette souveraine de la Grèce, du Portugal ou de l’Espagne. Mais d’autres ont une position « nue » sur des CDS et parient cyniquement sur leur perte ». Toujours le 8, dans ma chronique du Monde–Économie, intitulée « La dette est-elle un boulet ou un prétexte ? » : « La crise a produit une pléthore de faits invalidant le bien-fondé de la déréglementation et de la privatisation prônées par le libéralisme radical qui prit son essor initial dans l’Allemagne d’après-guerre pour s’épanouir ensuite en Grande-Bretagne, puis aux États-Unis, avant de trouver son expression consommée dans le traité de Lisbonne… Mais qu’importe : les faits pèsent pour si peu ! » Etc., etc., comme je l’ai dit : « jusqu’à l’écœurement ».
Je n’aurai pas eu le plaisir d’influer sur le cours des événements, juste celui d’avoir prédit correctement les catastrophes à venir. Il faut se contenter des satisfactions qu’on peut.
(*) Un « article presslib’ » est libre de reproduction numérique en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Paul Jorion est un « journaliste presslib’ » qui vit exclusivement de ses droits d’auteurs et de vos contributions. Il pourra continuer d’écrire comme il le fait aujourd’hui tant que vous l’y aiderez. Votre soutien peut s’exprimer ici.
Qu'est-ce que la mondialisation ? - Sylvie Brunel, article Géographie
Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible.
« Avant, les évènements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. » La constatation est banale, hormis le fait que celui qui la formule, Polybe, vivait au IIe siècle avant J.-C. ! La mondialisation, cette création d’un espace mondial interdépendant, n’est donc pas nouvelle. Certains la font même remonter à la diffusion de l’espèce humaine sur la planète…
Dès l’Empire romain, une première mondialisation s’est organisée autour de la Méditerranée. Mais il faut attendre les grandes découvertes, au XVe siècle, pour assurer la connexion entre les différentes sociétés de la Terre et la mise en place de cette « économie-monde » décrite par l’historien Fernand Braudel (1). Une mondialisation centrée sur l’Atlantique culmine au XIXe siècle : entre 1870 et 1914 naît un espace mondial des échanges comparable dans son ampleur à la séquence actuelle. Ouverture de nouvelles routes maritimes, avec le percement des canaux de Suez et de Panama, doublement de la flotte marchande mondiale et extension du chemin de fer, multiplication par 6 des échanges, déversement dans le monde de 50 millions d’Européens, qui peuplent de nouvelles terres et annexent d’immenses empires coloniaux…, la naissance de la mondialisation telle que nous la connaissons aujourd’hui a commencé il y a un siècle et demi.
Mais le processus n’est pas linéaire : la Première Guerre mondiale puis la grande dépression des années 1930 suscitent la montée des nationalismes étatiques, une fragmentation des marchés, le grand retour du protectionnisme. La mondialisation n’est plus à l’ordre du jour jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide et la constitution des blocs figent ensuite le monde pendant près d’un demi-siècle. Pourtant, la mondialisation actuelle est déjà en train de se mettre en place. Jacques Adda la définit comme « l’abolition de l’espace mondial sous l’emprise d’une généralisation du capitalisme, avec le démantèlement des frontières physiques et réglementaires (2) ». Selon l’OCDE, elle recouvre trois étapes :
• L’internationalisation, c'est-à-dire le développement des flux d’exportation ;
• La transnationalisation, qui est l’essor des flux d’investissement et des implantations à l’étranger ;
• La globalisation, avec la mise en place de réseaux mondiaux de production et d’information, notamment les NTIC (nouvelles technologies d’information et de communication).
La mondialisation actuelle, ce « processus géohistorique d’extension progressive du capitalisme à l’échelle planétaire », selon la formule de Laurent Carroué (3), est à la fois une idéologie – le libéralisme –, une monnaie – le dollar –, un outil – le capitalisme –, un système politique – la démocratie –, une langue – l’anglais.
A chaque phase de mondialisation, on retrouve les mêmes constantes : révolution des transports et des moyens de communication, rôle stratégique des innovations (les armes à feu au XVe siècle, la conteneurisation après la Seconde Guerre mondiale, Internet depuis les années 1990), rôle essentiel des Etats mais aussi des acteurs privés, depuis le capitalisme marchand de la bourgeoisie conquérante à la Renaissance jusqu’aux firmes transnationales et aux ONG aujourd’hui.
Descartes. Une révolution en philosophie ? - Denis Kambouchner, article
Descartes est souvent dépeint comme le héros de la modernité. Pour tempérer ce discours, les études cartésiennes s’emploient aussi à montrer les continuités afin de mieux mettre au jour sa vraie nouveauté.
Une révolution : c’est ainsi que l’on a longtemps qualifié l’œuvre de Descartes en philosophie. Avec lui, la pensée sortait pour de bon du Moyen Âge, c’est-à-dire de siècles de « disputes » associées à la doctrine d’Aristote, auteur qui, pour beaucoup d’esprits, était resté « le Philosophe ». Descartes, le premier, osait bâtir avec tout le soin d’un bon architecte une nouvelle philosophie capable de supplanter la « philosophie vulgaire » des collèges et des universités. Cette philosophie renversait la vieille physique verbeuse et spéculative pour ramener l’étude de la nature à la seule considération des figures et mouvements. Le corps humain devenait une machine, l’âme une simple « chose qui pense », dotée par Dieu de certaines idées et assurée par lui de son expérience du vrai. Partout s’imposait, à partir du Cogito, une nouvelle règle des idées claires et distinctes, autrement dit un contrôle des vérités accessibles à l’esprit humain par les nouveaux droits d’une raison formée aux mathématiques. Descartes, « véritable initiateur de la philosophie moderne, en tant qu’il a pris le penser pour principe » : ces mots de Hegel ont longtemps exprimé une certitude partagée.
Les 2 raisons qui font de la bourse un mauvais plan (et les 2 bonnes pour investir) | Devenir riche à votre manière
2 bonnes raisons pour ne PAS investir :
Les marchés financiers font parti de mon approche mais ce n’est pas un axe majeur pour moi, c’est un bon complément. Les 2 raisons restantes sont tout de même des inconvénients majeurs qui restent vrais :
- l’opacité évidente (magouilles, HFT et autres rinçages de petits porteurs…) des marchés. Les entreprises habillent de beaux draps leurs bilans (et c’est légal) et l’économie mondiale est en surchauffe depuis 10 ans via le transfert aux états des dettes réalisés par les marchés financiers.- création de valeur presque nulle. J’ai ajouté le presque car théoriquement votre argent permet à l’entreprise de fonctionner. En pratique, ceux qui ne jurent que par l’investissement boursier ont très souvent une propension à spéculer (parier sur la hausse rapide d’un cours, faire des allers/retours). Si vous pensez que nous vivons dans un monde de merde, ce n’est évidemment pas ce type de comportement qui améliorera les choses car il ne s’agit pas de rendre service mais avant tout de se servir sur la bête. L’approche « Après moi le déluge » (écologie, système de retraite…) n’est pas exceptionnelle mais si vous lisez Esprit Riche, c’est que, je l’espère, vous aspirez à un peu plus que cela. Ceci étant dit, il existe des approches d’investissement plus « durables » qui mettent l’accent sur la recherche de dividendes ou sur les sociétés dont l’activité vous tient à coeur.
Les raisons qui font que mon point de vue a changé sont que les marchés sont revenus à des valeurs plus raisonnables. Au moment où j’avais écrit mon premier article, nous étions à presque 6000 points, juste avant la fameuse CRISE. Sans être devin, je m’étais naturellement détourné d’un marché qui était à ses plus hauts historiques. Tout le monde en voulait, c’était le meilleur indicateur qu’il fallait l’éviter. Ce que j’ai simplement fait, c’est de commencer à investir fin 2008 au beau milieu de la crise lorsque la panique était présente.
2 bonnes raisons pour investir :
Maintenant les 2 raisons qui font de la bourse un bon support sont :
- le gain n’est pas proportionnel à l’effort : je sais que pour les bons petits chrétiens (ou d’influence chrétienne) que nous sommes c’est un constant qui provoque un rejet violent mais le fait est que sur les marchés financiers la performance de vos investissements n’est pas lié à l’effort que vous faites (ou si peu) mais surtout à votre stratégie et à vos croyances (si celles si sont bonnes…). On ne compte plus les spéculateurs ayant réalisé d’importantes plus-values qu’il aurait été impossible d’obtenir dans le monde réel si facilement. Pour pousser le bouchon, une fois investis vos fonds évolueront sans votre intervention, comme si vous possédiez une entreprise, et vous continuerez à encaisser les dividendes chaque année. Bien qu’il faille surveiller vos petits, l’effort reste moindre et vos mains « propres ».
- un défi psychologique : pour les mêmes raisons que j’aime bien les sujets à l’argent, la bourse révèle en fait notre moi profond et nos croyances. Ce qui devient alors intéressant, c’est de s’améliorer personnellement au fur et à mesure. Le défi psychologique (voir le résumé de The little book of behavioral investing – James Montier) prend le pas sur la simple performance boursière. En maitrisant et en écoutant nos émotions, nous avons la possibilité d’outiller notre indépendance financière et de réaliser nos projets supérieurs.
A partir du 13 juin, la France mange le poisson des autres - 20minutes.fr
Le rayon poisson d'un supermarché, en région parisienne. DURAND FLORENCE/SIPA
PECHE - Les prises des bateaux de pêche français et les élevages nationaux ne permettent plus de fournir le pays en poisson à compter de ce mardi...
Les Français mangent-ils trop de poisson? Ils en consomment en tout cas plus que les bateaux et les élevages français ne peuvent en fournir. La Nef (New economics foundation) et OCEAN2012, une alliance d’organisations ayant pour objectif la transformation de la politique européenne de la pêche, publient un rapport illustrant la dépendance de plusieurs pays européens aux poissons importés. Pour la France, les calculs du rapport ont fixé au 13 juin, date à partir de laquelle les Français ne consomment plus que du poisson venant d’autres eaux.
Le PS enterrera-t-il le dossier Jean-Noël Guérini ? - Le journal de Fanette sur LePost.fr (18:47)
Curieuse coïncidence...
Les conclusions du rapport seront remise au PS le 28 juin, c'est-à-dire le jour même de l'ouverture du dépôt des candidatures à la primaire. Un jour où les socialistes auront d'autres chats à fouetter.
Et cette commision d'enquête va probablement aboutir à la création d'une autre commission : une commission de rénovation départementale, composée de 5 membres proches de Jean-Noël Guérini, et 4 moins favorables à ce dernier (pour équilibrer les forces en présence), chargée de réformer en douceur la Fédération des Bouches du Rhône, réforme "pilote" qui serait ensuite étendue à toutes les fédérations...
L'un des membres de la commission d'enquête, cité par L'Express, estime "possible que Martine Aubry ait l'arrière-pensée d'étouffer l'affaire", afin de ne pas se mettre à dos une fédération déterminante dans la course à l'investiture.
Comment noyer le poisson dans la bureaucratie, en quelque sorte.
Il existe... 719 comités auprès des ministres et du premier ministre. À quoi servent-ils? - Fred-Lille sur LePost.fr (07:41)
On peut se poser en effet des question sur l'utilité d'un "Comité National sur le Calcul Intensif", du "Comité de l'Environnement Polaire" ou la "Commission Consultative permanente d'Oenologie".....
Des comités pour les temps difficiles?
C'est le nombre (ahurissant) de comités officiellement dénombrés par le ministère des Finances. Selon Roland Cayrol, politologue, interrogé sur France 2, c'est la "professionnalisation" de la politique qui nécessite tant de comités : "Quand on n'a plus de fonction, élective ou ministérielle, on se retrouve un petit peu sans rien. Quand il y a des amis qui n'ont plus de job (...) il y a les comités, les hauts-comités, le Conseil économique et Social, où on peut, en attendant des jours meilleurs, recaser ses amis."
(Images : France 2)
Un député UMP se pose des questions.
Combien coûtent ces comités, et combien de personnes sont-elles concernées?
Difficile à savoir pour le député UMP Richard Maillé : "Il y a une opacité totale qui règne là-dessus. On ne connaît pas, bien souvent, le budget qui leur est consacré, on ne connaît pas le nombre de salariés qui leurs sont consacrés." déclare-t-il.
Le député constate : "Bien souvent on a des comités qui ne travaillent plus, qui font une réunion par an parce qu'il faut en faire une".
Le gouvernement avait promis de réduire le nombre de ces commissions nous dit France 2. C'est vrai: il en a effet supprimé 50... mais en a créé 30.
Note de la rédaction
Luc Ferry émarge quant à lui au Conseil d'Analyse de la Société, un job "prenant" d'après lintéressé et les quelques salariés autour de lui, qui est payé environ 1800 euros mensuels. Ce qui lui vaut d'être détaché de l'université Paris-VII, qui le paye 4800 euros par mois (la somme sera remboursée par Matignon).
En 1947, les iPhone étaient déjà imaginés par la télévision
Etonnant reportage que celui remonté à la surface par l'INA. Daté de 1947, ce reportage préfigurait déjà ce qui allait devenir le quotidien des Français soixante ans plus tard, avec les smartphones et autres tablettes tactiles. "Des postes de poche, grands comme une lampe électrique. Plus besoin d'acheter un journal, on se branchera sur l'émission d'information, ou sur l'éditorial politique, ou sur la chronique de mode, ou sur le compte rendu sportif... Voire même sur un problème de mots croisés", explique le journaliste, sur fond d'images de ce qui ressemble fort à un téléphone mobile. "Et la rue présentera un singulier spectacle", ajoute-t-il, devant des passants qui regardent tous leur appareil, tête baissée... comme on le voit quotidiennement aujourd'hui. Saisissant.
La satire, criante de vérité, est aussi politique. Et terriblement vraie. "Les ministres de demain, au lieu d'être choisis pour leur valeur, leur intelligence, leur dévouement à la cause publique, seront choisis pour la séduction de leur sourire, et le velouté de leurs yeux". Combien de fois a-t-on reproché à Nicolas Sarkozy d'avoir composé un gouvernement de casting TV, et non basé sur les compétences de chacun des ministres ?
Ce document est issu de l'émission "La télévision, oeil de demain", conçue par l'écrivain René Barjavel. "Annonçant ainsi l'omniprésence des écrans, l'internet nomade, la prédominance de la forme sur le fond et les images en trois dimensions. Ce sens troublant de l'anticipation, où l'on sent l'influence de Barjavel, est masqué par un commentaire caustique et une profusion d'images assez loufoques", commente l'INA. Une belle trouvaille, issue de son dossier sur le futur vu dans le passé.
Si le sujet vous intéresse, vous pouvez également visiter l'excellent site Paleofuture.com, qui s'est fait une spécialité de dénicher les visions de l'avenir imaginées autrefois.
Les neuro-sciences pour prédire le succès d'une chanson ?
L'art est une science. En tout cas, le travail de l'industrie culturelle pourrait ressembler de plus en plus à un travail scientifique plus qu'artistique. L'AFP rapporte ce lundi que des chercheurs américains ont présenté dans le Journal of Consumer Psychology une étude qui démontrerait qu'il est possible de prédire le succès d'un tube en analysant les réactions cérébrales des adolescents.
"Il est possible jusqu'à un certain point d'utiliser les techniques d'imagerie du cerveau dans un groupe d'individus pour prédire la popularité (d'une chanson)", explique Gregory Berns, neuro-économiste et directeur du centre de neuropolitique de l'Université Emory à Atlanta. En 2006, les chercheurs avaient fait écouter 120 chansons essentiellement inconnues issues de MySpace, à 27 adolescents de 12 à 17 ans. Pendant l'écoute, ils enregistraient leurs réactions neurologiques, et les cobayes devaient ensuite attribuer une note aux chansons. Quelques années plus tard, "une analyse comparative des résultats de l'étude a révélé que les données recueillies étaient statistiquement significatives pour prédire le taux de popularité des différentes chansons mesurée en termes de ventes de 2007 à 2010", rapporte l'AFP.
En 2005, un logiciel de prédiction de succès baptisés Hit Song Science avait débarqué sur le marché français. A partir d'une vingtaine de critères tels que la mélodie, l'harmonie, la mesure ou le ton, HSS calculait les chances de succès populaire des chansons qui lui étaient proposées. On ignore si sa précision s'est vérifiée depuis, mais il était dit à l'époque que le logiciel avait pu prédire des succès de Maroon 5, Jenifer Lopez ou Norah Jones.
Plus récemment, en 2010, Yahoo avait montré qu'il était possible de prédire le succès d'une oeuvre culturelle en voie de commercialisation grâce au volume de requêtes saisies par les internautes avant sa sortie. Mais le critère était alors l'intérêt porté à l'oeuvre, et non l'oeuvre elle-même.
13 juin 2011
Pascal Boniface dénonce les "Intellectuels faussaires", dont le "Botuliste" de salon | Oumma.com
Son actualité livresque va faire couler de l’encre, après avoir donné des sueurs froides au petit monde de l’édition, 14 courageux éditeurs ayant préféré botter en touche à la lecture d’une quête de vérité corrosive : Pascal Boniface, directeur de l’Iris, dénonce cet aréopage d’intellectuels omniprésents, et un peu trop omniscients pour être honnêtes dans son ouvrage « Les Intellectuels faussaires ».
Au micro de RMC, c’est notamment à l’un de ses rhéteurs les plus puissants et retors que Pascal Boniface s’en prend vertement, au « Botuliste » préféré des médias, qui prospère sur le mensonge avec d’autant plus d’agilité que le ridicule ne tue plus, tant son influence est grande et crainte : l’incontournable BHL...
Caroline Fourest, experte en contrevérités, est démasquée également : "Caroline Fourest (...) elle ment, elle attribue des propos aux gens pour s’en offusquer, le problème c’est que les gens n’ont pas tenu les propos qu’elle leur attribue." déclare-t-il sans détour.
« Les Intellectuels faussaires » de Pascal Boniface, une réflexion passionnante, étayée, et édifiante sur le torpillage du débat intellectuel organisé par une élite qui se croit au-dessus de tout soupçon, sur laquelle nous reviendrons plus largement très prochainement.
MacDonald's victime d'une blague sur Internet - L'EXPRESS
La photo qui fait mal: "Comme mesure de sécurité dûe en partie à une récente recrudescence de braquages, les clients afro-américans seront désormais tenus de payer un supplément d'un dollar cinquante par transaction".
Graines germées: la première crise de l'agriculture biologique | Slate
Ces aliments de plus en plus fréquemment consommés inquiètent aujourd’hui au plus haut degré les autorités sanitaires. Il s'agit de la première crise de ce type touchant l'agriculture biologique.
Médecine: la révolution ne vient pas | Slate
Où sont les traitements promis par les cellules souches, la thérapie génique et le génome humain?- Une colonie de cellules souches embryonnaires / REUTERS -Le Dr. William Langston fait des recherches sur la maladie de Parkinson depuis vingt-cinq ans. Un bref moment, il a pensé qu’il allait lui falloir trouver une autre maladie pour poursuivre ses recherches, tant la découverte d’un remède au Parkinson apparaissait comme imminent. À la fin des années 1980, le champ de la médecine réparatrice semblait susceptible de permettre à des médecins de placer des tissus sains dans un cerveau endommagé, réparant les destructions causées par la maladie.
Langton n’était pas le seul optimiste. En 1999, le directeur de l’Institut national des troubles neurologiques et cardiaques, le Dr. Gerald Fischbach, affirmait devant le Sénat américain que «avec du travail et de la chance», la maladie de Parkinson pourrait être soignée dans les cinq à dix années. Langston, aujourd’hui âgé de 67, déclare qu’il ne pense pas voir apparaître un traitement contre cette maladie avant la fin de sa carrière. Il n’utilise même plus le terme de guérison et reconnaît qu’il s’est montré aussi naïf que ses collègues. Il déclare comprendre la colère et l’impatience des patients qui, dit-il, «se montrent un peu amers» de souffrir encore d’une maladie dont ils espéraient être aujourd’hui débarrassés.
Les déceptions sont à la hauteur des espoirs énormes qui se profilaient. Lors des deux décennies passées, il nous a été affirmé qu’un nouvel âge de la médecine moléculaire –utilisant la thérapie génique, les cellules souches et les connaissances dues à la découverte du génome humain– allait entraîner des miracles médicaux. Comme les antibiotiques avaient mis un terme aux maladies infectieuses, le vaccin éliminé le fléau de la polio et de la variole, la capacité à manipuler les cellules et les gènes était susceptible d’éradiquer toutes les maladies génétiques, comme la maladie d’Huntington ou la mucoviscidose, mais aussi les cancers, le diabète et les problèmes cardiaques.
Cette frustration est encore renforcée par le fait que de nombreux animaux de laboratoire se retrouvent, quant à eux, guéris. Des souris souffrant de Parkinson ont été soignées avec succès à partir de cellules souches, comme d’autres souris victimes de drépanocytose. Des chiens hémophiles ou souffrant de dystrophie musculaire ont été guéris. Mais pour les humains, les souffrances et les morts sont encore à l’ordre du jour. Pourquoi? Comment expliquer l’énorme écart entre les attentes et la réalité? Les remèdes ne viendront-ils pas ou vont-ils mettre plus de temps que prévu à émerger? Les scientifiques nous ont-ils trompés, ainsi qu’eux-mêmes, sur le potentiel réel de ces nouvelles technologies médicales?
12 juin 2011
Les politiques ont-ils perdu le sens moral ? : Jean-Luc Bennahmias
Les cas de corruption découverts récemment au Parlement européen sont les derniers exemples en date qui mettent à mal la moralité parlementaire. Quatre (à ce jour) députés européens se sont fait piéger par des journalistes du Sunday Times -se faisant passer pour des lobbyistes, ces journalistes ont proposé de l'argent à plusieurs députés en échange d'amendements déposés au Parlement.
Le corps de la femme fait le tri des spermatozoïdes
Le corps de la femme fait le tri des spermatozoïdes
D'après une étude australienne, de manière complètement inconsciente, le corps d'une femme serait sélectif sur les spermatozoïdes. Ce mécanisme existerait afin de permettre à certains hommes de pouvoir la féconder, mais de réduire fortement les chances pour un autre homme, moins "habituel". Le sperme contiendrait des molécules de “signal” afin de provoquer des modifications immunitaires de la femme ; le but est que le corps de la femme ne rejette pas ce sperme.Certains spermes pourtant sains n'arrivent pas à activer les modifications de cet ordre. La femme aurait donc une sorte de processus de “contrôle qualité”. Cela expliquerait pourquoi certains couples n'arrivent pas à avoir d'enfants, même si tout à l'air normal : le corps de la femme serait programmé pour être trop sélectif.
A priori, une exposition fréquente à un sperme donné accroîtrait la reconnaissance du système. Si une femme n'a pas été exposée depuis plus de trois mois à ce sperme, le rejet est fort probable. Cette recherche est très utile pour aider les couples qui éprouvent des difficultés à concevoir.
ça ne doit pas marché très bien, voir le nombre d'enfants suite à des viols.
Découvrez les têtes d'affiches au programme du festival Musilac 2011 | Aix-les-bains Blog
Ça y est, la programmation 2011 du festival Musilac est presque bouclée ! Ne tardez plus pour réserver vos places de concert et votre hébergement à Aix-les-Bains. Il n’y en aura pas pour tout le monde !
3 jours de concerts à Aix-les-Bains du 14 au 16 juillet 2011
Pour sa 10ème édition, le festival Musilac fait l’événement en recevant une fois de plus de grands noms de la scène pop-rock française et internationale. Carlos Santana ouvrira le festival le jeudi 14 juillet 2011 et enflammera sans doute les festivaliers avec sa guitare aux notes sud-américaines. Le festival sera également l’occasion de voir Ben Harper dans l’un des rares concerts qu’il donnera en France.
Avec les confirmations de The Ting Tings, Ben L’oncle Soul, Eels, Cali, Lilly Wood and the Prick, Mademoiselle K, Cocoon, Jamaïca, Puggy, The Two, Selah Sue, l’affiche de la 10e édition est quasi bouclée ! Pour fêter cette 10e, le festival proposera cette année non pas 10 mais 11 groupes chaque jour. Un groupe de plus, donc, pour lequel nous avons particulièrement craqué ou en qui nous croyons très fort : les trois heureux élus sont Angus and Julia Stone, Lilly Wood and the Prick et Puggy !
Autre info : avec la complicité de deux festivals amis, (Beauregard, en Normandie et Les Déferlantes, du côté d’Argelès), il a été décidé de choisir un groupe de chaque région. Chacun des trois heureux élus figurera à l’affiche des 3 festivals ! Du côté d’Argelès, un tremplin est en train de départager les meilleurs mais Beauregard a déjà choisi Concrete Knives et pour Musilac, ce sera le dénommé Lull.
Il ne manque plus que 2 noms dans la programmation de Musilac 2011 :
- le 14 juillet 2011 : SANTANA, ASA, MOGWAÏ, ANGUS & JULIA STONE, MORCHEEBA, BERNARD LAVILLIERS, BEN L’ONCLE SOUL, BLOODY BEETROOTS DEATH CREW 77, SCISSOR SISTERS, THE TING TINGS, ?
- le 15 juillet 2011 : THE CHEMICAL BROTHERS, AARON, NOUVELLE VAGUE, GAETAN ROUSSEL, KATERINE, EELS, DEUS, PJ HARVEY, LILLY WOOD AND THE PRICK, ?, CONCRETE KNIVES
- le 16 juillet 2011 : BEN HARPER, KASABIAN, MADEMOISELLE K, CALI, JAMAÏCA, PUGGY, VITALIC, COCOON, THE TWO, SELAH SUE, LULL
Dépénaliser le cannabis : une fausse bonne idée ?
Certains politiques plaident ces derniers temps pour la légalisation du cannabis. Pourtant, L'Hérétique pense non seulement que cette drogue n'est pas anodine mais que la dépénaliser ne permettra pas de réduire le trafic.