We have some somber news to bring you this morning: Robert Morris, the cryptographer who helped create Unix, has died at the age of 78. Morris began his work on the groundbreaking OS back in 1970 at AT&T's Bell Laboratories, where he played a major role in developing Unix's math library, password structure and encryption functions. His cryptographic exploration continued into the late 1970s, when he began writing a paper on an early encryption tool from Germany. But the paper would never see the light of day, thanks to a request from the NSA, which was concerned about potential security ramifications. Instead, the agency brought Morris on board as a computer security expert in 1986. Much of what he did for Uncle Sam remains classified, though he was involved in internet surveillance projects and cyber warfare -- including what might have been America's first cyberattack in 1991, when the US crippled Saddam Hussein's control capabilities during the first Gulf War. Morris stayed with the NSA until 1994, when he retired to New Hampshire. He's survived by his wife, three children and one, massive digital fingerprint.
02 juillet 2011
Robert Morris, man who helped develop Unix, dies at 78 -- Engadget
Scientists develop algorithm to solve Rubik's cubes of any size -- Engadget
A computer solving a Rubik's cube? P'shaw. Doing it in 10.69 seconds? Been there, record set. But to crack one of any size? Color us impressed. Erik Demaine of MIT claims to have done just that -- he and his team developed an algorithm that applies to cubes no matter how ambitious their dimensions. Pretty early on, he realized he needed to take a different angle than he would with a standard 3 x 3 x 3 puzzle, which other scientists have tackled by borrowing computers from Google to consider all 43 quintillion possible moves -- a strategy known simply as "brute force." As you can imagine, that's not exactly a viable solution when you're wrestling with an 11 x 11 x 11 cube. So Demaine and his fellow researchers settled on an approach that's actually a riff on one commonly used by Rubik's enthusiasts, who might attempt to move a square into its desired position while leaving the rest of the cube as unchanged as possible. That's a tedious way to go, of course, so instead the team grouped several cubies that all needed to go in the same direction, a tactic that reduced the number of moves by a factor of log n, with n representing the length of any of the cube's sides. Since moving individual cubies into an ideal spot requires a number of moves equal to n², the final algorithm is n²/log n. If we just lost you non-math majors with that formula, rest assured that the scientists expect folks won't be able to apply it directly, per se, though they do say it could help cube-solvers sharpen their strategy. Other that, all you overachievers out there, you're still on your own with that 20 x 20 x 20.
MARIAGE CHARLENE-ALBERT. Un ex du PC au chevet du prince
Jean-Luc Mano est passé du PC à la com des riches et des puissants en transitant par le journalisme politique. Portrait d'un homme de l'ombre qui adore la lumière. Par Sophie des Déserts.
"Il était le meilleur, mais ses excès, son goût pour l'argent l'ont perdu...". Un confrère. (Sipa)
01 juillet 2011
Un chercheur infecté dans son laboratoire meurt de la peste - 20minutes.fr
L’histoire ne date pas d’hier, mais elle est racontée ce jeudi dans le très sérieux New England Journal of Medicine (NEJM). Un chercheur américain, qui avait contracté la maladie en s’infectant avec une souche pourtant atténuée dans son laboratoire, est mort en 2009 de la peste.
Le scientifique, âgé de 60 ans et souffrant de troubles respiratoires s’aggravant depuis plusieurs jours, s’est présenté en septembre 2009 aux urgences. «Son état s'est rapidement détérioré et, malgré la réanimation, le patient est décédé en 13 heures», raconte Karen Frank, de l’université de Chicago, dans le NEJM.
Rencontre avec Evelyn Fox Keller : Peut-on expliquer la vie ?
La science est-elle en voie d’expliquer le phénomène du vivant ? Pas si facile, montre Evelyn Fox Keller : physiciens, mathématiciens et biologistes ont bien du mal à se mettre d’accord sur ce que signifie la vie.
Evelyn Fox Keller a de bonnes raisons de considérer, comme elle l’écrit, que ce qui conduit un chercheur à s’exclamer « Eurêka ! » dépend de ses attentes, de ses besoins et de ses désirs. La science, loin de former un seul grand livre du monde, est affectée d’un assez grand désordre explicatif. On y pratique une diversité de styles répondant à une pluralité d’objectifs : modéliser, décrire, expérimenter, prédire, manipuler, appliquer… Tour à tour physicienne, mathématicienne, biologiste, E. Fox Keller a été directement confrontée au fait que les manières d’expliquer qu’elle avait apprises en physique étaient rarement comprises par les biologistes. L’un de ses ouvrages, traduit en 2003, exposait les extraordinaires avancées de la génétique moléculaire au XXe siècle. Mais il mesurait aussi les limites à la fois concrètes et théoriques de ce qui a pu apparaître, il y a quelques décennies, comme la clé explicative du vivant.
La génétique se heurte aujourd’hui au problème de comprendre non seulement comment les êtres vivants se reproduisent plus ou moins à l’identique, mais comment ils se développent, vieillissent et meurent. La « biologie du développement » serait-elle à son tour la clé d’une théorie de la vie ? Les retours historiques qu’E. Fox Keller présente dans un second ouvrage, Expliquer la vie, montrent que les diverses tentatives d’expliquer le développement des organismes vivants ont, elles aussi, buté sur les limites des disciplines scientifiques.
Pourquoi les chiens aboient ?
Si un chien d'un voisin aboie toute la nuit et vous empêche de dormir, c'est bien l'humanité qu'il faut blâmer. Nous, les humains, aurions sélectionné ce trait de caractère par le passé. Les chiens descendent tous du loup. Or, les loups n'aboient jamais (les chiens sauvages non plus). Les louveteaux par contre « aboient ». Ce trait de caractère « jeune » (dit de « néoténie) aurait été sélectionné directement ou indirectement, mais artificiellement en tout cas.
chercheurs hongrois se sont demandé si cet aboiement ne contiendrait pas une information. On a remarqué par exemple que certains types d'aboiement (type « alarme ») se ressemblaient entre chiens différents. On a demandé à des gens de distinguer les types d'aboiement et ces premiers ont réussi à bien les distinguer. Nous sommes capables a priori de parler « chien » !
Céline 50 ans après, toujours « impardonnable » | La république des livres
Il y aura embouteillage ce vendredi matin au cimetière des Longs Réages à Meudon. A midi, la Société d’Etudes Céliniennes, présidée par Me François Gibault, déposera une gerbe sur la tombe de Louis-Ferdinand Destouches dit Céline à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort. Demain, les mêmes et d’autres se retrouveront du côté de Dinard à l’occasion du 18ème colloque international Céline consacré cette fois aux « Images de la France » dans son œuvre : « Céline, la baguette et le béret », « Céline et Chateaubriand : la France vue de l’exil », « Le mal du pays dans Féérie pour une autre fois », « Le réquisitoire contre les Français »… Demandez le programme ! Les éditeurs n’ont pas attendu juillet pour coller à la commémoration (pas célébration, non, c’est compris, pas célébration, ni nationale ni internationale). L’abondante bibliographie célinienne s’est enrichie d’une dizaine de nouveaux titres, pas tous indispensables. Deux surnagent : l’un très attendu, l’autre inattendu.
Une rue Robespierre à Paris ? | Atlantico
Alors que mon cœur bat plus du côté de la place du Trône que de la République, je m’étonne de moi-même. Une voie Robespierre à Paris, après tout, pourquoi pas ? Bertrand Delanoë dont on connaît pourtant, le goût affirmé pour la vertu, ne veut pas en entendre parler, au grand dam de son édile du 12e arrondissement, M.Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de Gauche. On me dira qu’il n’y a pas le feu au lac et que Max peut attendre tranquillement l’arrivée au pouvoir de son descendant en droite ligne, Jean-Luc Mélenchon. Il n’empêche qu’une pareille petite fête, outre qu’elle donnerait à Max Gallo l’occasion de nous sortir en vitesse un 480éme opus historique, ne me choquerait pas tant que cela .
A une triple condition :
1) On se débarrassera de Fabre d’Eglantine qui a sa rue dans le même arrondissement car le charmant auteur de « Il pleut bergère » fut en vérité une véritable ordure, au premier rang des responsables des Massacres de septembre 1792
2) On débaptisera l’avenue Carnot, cette gloire nationale, magnifique soldat dont, toutefois, les mains ont dégouliné du sang des malheureux Vendéens ( rappelez vous la loi du 1er août 1793 : « La Vendée doit être un cimetière national"). Dans la foulée, on imposera à la ville de La Rochelle (quelle mouche l’avait donc piquée de mettre ces deux types à l’honneur ?) de jeter à la poubelle le souvenir de ces deux ignobles terreurs que furent Billaud-Varenne et Bertrand Barére.
3) On sélectionnera une belle avenue ou une rue élégante dont on fait l’hommage à la reine Marie Antoinette .On prendra évidemment soin de ne pas la couper par la rue Robespierre.
Mais revenons à l’Incorruptible. L’admiration que lui portèrent Lénine et les bolcheviks n’a guère contribué à nous le rendre furieusement sympathique. Devenu la figure emblématique de la Révolution et de la Terreur, nombre d’entre nous hésiteraient à l’inviter à dîner ou même à un five o’clock tea. M. Alexis Corbiére nous la baille belle quand il nous raconte dans « Le Monde » qu’après tout la Grande Terreur n’a pas duré plus de deux mois (10 juin - 27 juillet 1794) et que ces regrettables bavures (vous avez remarqué que les bavures sont toujours « regrettables « ) furent peau de balle comparées aux « massacres et tortures cautionnées par les rois de France » (pour dire vrai, je n’aimerais pas trop croiser à la tombée de la nuit M.Corbière en tenue de sans –culotte )
En revanche, là où il n’a pas tort, c’est que Robespierre, bien qu’un peu louche j’en conviens, ne fut pas le pire de la bande. Loin de là.
Ce furent plus tard les thermidoriens, trop heureux de s’en tirer à bon compte, qui lui taillèrent un costume de dictateur jacobin, vrai tigre assoiffé de sang. Son rôle au sein du Comité de Salut Public n’a pas été vraiment éclairci ; en tout cas, il n’en fut ni la vedette ni le metteur en scène. Dans le génocide vendéen, il ne joua aucun rôle et lors des noyades de Nantes ou des massacres de Lyon, il demanda le rappel des responsables.Napoléon dira plus tard que Robespierre avait voulu être « le modérateur de la Révolution et même l’arrêter »
30 juin 2011
Blog de Paul Jorion » POUR QUI ROULENT LES RÉGULATEURS ?
Lorsque le système financier s’effondra à l’automne 2008, à la suite de la faillite de la banque d’affaires Lehmann Brothers, on attribua une part de responsabilité à la dérégulation qui était intervenue – et ceci, à l’échelle globale – à partir des années 1970, mais on constata également que des régulateurs avaient été assoupis aux manettes, alors qu’une législation existait, qui aurait pu être appliquée.
J’ai expliqué cet assoupissement de manière générale par le rapport de force défavorable aux régulateurs dans leurs relations aux milieux d’affaires. J’ai rapporté ici en particulier un épisode auquel j’avais participé : quand un dirigeant de banque m’avait affirmé – sans pouvoir cacher sa fureur contenue – que le régulateur ferait ce qu’il lui enjoindrait de faire, parce que c’est de cette manière-là que marche le monde.
Le Wall Street Journal en date d’hier, nous offre une autre explication possible en nous montrant le régulateur qui sabote les efforts du législateur et prend fait et cause pour le secteur bancaire.
Le cas rapporté dans l’article de Victoria McGrane est celui de John Walsh, directeur de l’OCC (Office of the Comptroller of the Currency), le régulateur des banques commerciales américaines, dont l’une des récentes directives contredit l’esprit du Dodd-Frank Act, le corps de lois voté en 2010 pour tenter de re-réglementer la finance.
J’ai eu l’occasion d’expliquer ici à de nombreuses reprises pourquoi le Dodd-Frank Act manque de muscle et constitue dans bien des cas une simple modernisation de la finance, non pas dans le sens de la réduction du risque systémique, mais en mettant en place au contraire un cadre encore plus favorable au milieu financier. Quoi qu’il en soit, la nouvelle loi n’est pas au goût des milieux républicains qui ont déjà eu recours à son encontre à l’arsenal de la résistance passive tout entier. C’est ce qui explique en particulier pourquoi M. Walsh est directeur à titre provisoire de l’OCC alors qu’un directeur devrait être nommé à titre définitif depuis août 2010. C’est ce qui explique aussi pourquoi les équipes qui appliqueraient le Dodd-Frank Act ne sont pas encore en place, les républicains refusant de débloquer les fonds qui seraient nécessaires.
La fraction pro-Wall Street du parti républicain exerce donc en ce moment tout le pouvoir dont elle dispose. Ce qui est intéressant aux États-Unis, c’est que la partie de l’opinion la plus violemment anti-Wall Street, la droite religieuse, appartient elle aussi au parti républicain, mais comme, fidèle à sa tradition agrarienne, elle voit dans toutes les manifestation de l’État celles du Grand Satan, Wall Street peut continuer de dormir sur ses deux oreilles.
(*) Un « article presslib’ » est libre de reproduction numérique en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Paul Jorion est un « journaliste presslib’ » qui vit exclusivement de ses droits d’auteurs et de vos contributions. Il pourra continuer d’écrire comme il le fait aujourd’hui tant que vous l’y aiderez. Votre soutien peut s’exprimer ici.
La vitamine D, nouvel enjeu de santé publique
Avec les maillots de bain, shorts et autres robes légères, l'été devrait être le meilleur moment pour faire le plein de vitamine D. Essentielle pour la consolidation des os et des dents, elle est fabriquée par notre peau sous l'action des rayons ultraviolets B (UV-B) du soleil...
29 juin 2011
Les « indignés » de Syntagma, par Athanase Koutsis (Le Monde diplomatique)
Il s’agit de la place où, en 1843, les Grecs, guidés par quelques anciens combattants révolutionnaires, ont demandé à Otton Ier, le roi bavarois imposé par les grandes puissances de l’époque (France, Royaume-Uni, Russie), un syntagma (Constitution), après la deuxième des quatre faillites (en 1827, 1843, 1897 et 1927 ) de l’Etat grec moderne, provoquée par les exigences démesurées des créanciers étrangers – déjà ! – et la vie luxueuse de la cour. Une coïncidence historique ?
Hauts salaires : le bras de fer s'engage avec les grands patrons
Xavier Bertrand se dit favorable à ce que les fortes rémunérations ne soient plus déductibles de l'impôt sur les sociétés.
On a l'impression que le président cède à tous les caprices
«On a l'impression que le président cède à tous les caprices»
Sans blaque on vient de s'en rendre compte à 20 minutes.
xkcd: Connoisseur
Naturally, in less time than it takes to eat a sandwich there was a Tumblr account dedicated to Joe Biden eating.
But one can’t help but ask — is it true? Does it really not matter what it is we choose to lavish our attentions upon? Would we find as much depth and complexity in different cans of Diet Dr. Pepper as oenophiles would claim are lurking in a bottle of fine Bordeaux?
I think we have to say no. Some things really are more complex and nuanced than other things. I could provide examples, but they aren’t any better than ones you can imagine yourself.
That’s okay, it doesn’t make the comic any less funny. And there is a clever point that remains true: people pick and choose the things on which they lavish their attention. To one person, all jazz is just noise; another would say the same about classical, and another about punk. The real issue isn’t the existence of complexity, it’s how we choose to recognize and value it. If we went through life taking note of every fact around us, we’d go insane within minutes. Making sense of existence relies heavily on coarse-graining.
But there’s yet another issue! (Yes I know I’m spending too much time analyzing a single comic — or am I deviously making a point?) The cartoon didn’t choose Diet Dr. Pepper as its example, it chose pictures of Joe Biden eating sandwiches. And you know, there really is a lot of depth there. There’s a lot you could say about a large collection of such photographs. So the question is — are any of those things worth saying? Complexity might be necessary for great art, but it doesn’t seem to be sufficient. Paying attention to certain kinds of details seems rewarding in a way that paying attention to others is not.
Anyone have a simple demarcation between the two? When is complexity deserving of study, and when does it merit being ignored? I’m sure aestheticians have argued about this for centuries, and I’m not trying to break any new ground here. I’m just at a loss for a good theory, which isn’t a condition I like to be in.
La bière aide la croissance économique | Slate
Le mythe de l’anti-alcoolique suffisant a un fond de vérité. Beaucoup des théories les plus populaires sur la croissance économique dans les pays riches, qui remontent à l’éthique du travail protestante de Max Weber, mettent à l’honneur les vertus de frugalité et de sobriété des nantis. Et des lois britanniques restreignant le commerce de l’alcool du XVIIIe siècle à la prohibition dans l’Amérique des années 1920, jusqu’à une certaine catégorie d’économistes modernes, la longue tradition consistant à mettre la persistance de la pauvreté sur le dos de l’intempérance a la vie dure.
Un Français sur six touché par une maladie chronique grave MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé
Selon Les Echos citant un rapport transmis hier aux administrateurs de l’assurance maladie (CNAM), neuf millions de personnes, soit un assuré du régime général sur six, souffrent d’une maladie chronique grave comme le diabète, l’hypertension ou la schizophrénie.
Ces personnes bénéficient ainsi du régime des affections de longue durée (ALD), qui assure une prise en charge à 100 % des dépenses liées à leur pathologie et représentent 15,5 % de la population du régime général. Le diabète vient de prendre la première place des affections, avec 1,9 million de malades (+ 6,5 %), passant devant les cancers (+ 3,7 %). Aujourd’hui, selon Les Echos, les ALD représentent les deux tiers des remboursements, et environ 90 % de leur croissance. A eux seuls, les coûts liés au diabète atteignent 10 milliards d’euros.La « forte croissance des dépenses de molécules onéreuses »
Cependant le rapport note qu’il s’agit d’ « une croissance des besoins indéniable ». Parmi les pistes d’économie soulevées dans le rapport, Les Echos citent les médicaments prescrits à l’hôpital dont la CNAM souligne la « forte croissance des dépenses de molécules onéreuses», notamment les anticancéreux de nouvelle génération du laboratoire suisse Roche . Concernant les soins hospitaliers, le rapport dénonce « une absence de cohérence dans les tarifs et remboursements aux assurés » entre établissements publics et privés. En ville, l’assurance-maladie critique « une grande hétérogénéité des durées moyennes d’arrêt de travail pour des situations identiques « Si les durées étaient harmonisées, l’économise atteindrait 125 millions », notent les Echos.Source : Les Echos
Revue Stratégique 2011 : Prévisions de croissance des ventes mondiales 2011-2020 des 9 premiers groupes pharmaceutiques sur la base de leurs portefeuilles de produits existants et à venir | Pharmactua
Revue Stratégique 2011 : Prévisions de croissance des ventes mondiales 2011-2020 des 9 premiers groupes pharmaceutiques sur la base de leurs portefeuilles de produits existants et à venir. Les estimations 2011- 2020 établies par Bernstein Research se basent sur les médicaments sous prescriptions actuellement sur le marché et projettent l’impact des pertes de brevet des 9 premiers groupes pharmaceutiques.
Une deuxième estimation prend en compte les portefeuilles de produits en développement ainsi que les activités jugées périphériques comme les médicaments non soumis à la prescription, les génériques, les produits de santé animale et les vaccins.
Le groupe Johnson & Johnson n’a pas été intégré dans ces projections en raison de la diversification de ses activités dans les dispositifs médicaux et chirurgicaux.
Dans les 2 tableaux de projections à 2020, Le groupe pharmaceutique Eli Lilly et le groupe Astra Zeneca montrent leurs fortes vulnérabilités à la perte de brevet sur cette période ainsi que la forte concentration de leurs activités sur les médicaments sous prescription à l’opposé de groupe comme Novartis diversifié dans les vaccins, l’ophtalmologie avec le rachat d’Alcon.
Le groupe Eli Lilly dans le premier tableau de projection qui prend en compte uniquement les médicaments sous prescription commercialisés à fin 2010 passerait de 21,7 milliards de dollars en 2010 à 9,7 milliards en 2020.
Le groupe Astra Zeneca serait aussi fortement touché par les pertes de brevet avec un chiffre d’affaires de ses médicaments sous prescription actuellement commercialisés passant de 32,5 milliards en 2010 à 23,5 milliards en 2020. Pfizer, numéro 1 mondial pourrait avec l’impact des pertes de brevet voir son activité de médicament sous prescription passée de 58,7 milliards de dollars en 2010 à 38,7 milliards en 2020.
Le deuxième tableau de prévisions prend en compte les produits actuellement commercialisés, les produits en développement susceptibles d’être commercialisés entre 2011 et 2020 ainsi que les autres activités comme les vaccins, les médicaments sans ordonnance… Sur cette base le groupe Suisse Novartis deviendrait le numéro 1 de l’industrie avec plus de 70 milliards de dollars en 2020. Par Guy Macy d’après Bernstein Research, CBS Interactive Business Network et une analyse Stratègique Pharmactua
Le Lobby des taxis dans toute sa splendeur, (et l'état va céder comme d'habitude) | Les taxis manifestent dès ce matin dans l’agglomération lyonnaise - Le Progrès
Relayant localement un appel national, la FTI 69 au nom de la Fédération nationale des taxis indépendants, organise aujourd’hui une manifestation dans l’agglomération lyonnaise. A partir de 8 heures, un cortège de voitures partira de Gerland et un second de l’aéroport Saint-Exupéry. Les deux se rejoindront sur le périphérique puis les quais rive gauche du Rhône pour retourner à vitesse très modérée à Gerland.
Autant dire que la circulation dans l’agglomération lyonnaise risque d’être perturbée, d’autant que les manifestants ont l’intention de renouveler l’opération l’après-midi.
Les taxis en colère demandent notamment l’abrogation du protocole de 2008 passé entre les syndicats et le gouvernement estimant que celui-ci n’avait pas tenu ses engagements. Au chapitre des revendications également, un moratoire sur les voitures de tourisme avec chauffeur et le transport de personne de moins de dix places ainsi que l’application stricte des textes concernant les transports des personnes à deux et trois roues. La question d’une concurrence loyale est ainsi mise en avant.
Les manifestants demandent aussi un véritable statut pour les taxis locataires.
L'argus - La vitesse, remède à la somnolence ? - argusauto.com
L'enquête
La vitesse a-t-elle un impact sur la vigilance au volant ? Pour répondre à cette question, nous avons été en Allemagne réaliser ce reportage exclusif. Le résultat est édifiant.
28 juin 2011
Me Jean-Louis Brochen, mari de Martine Aubry, sort du bois | Rue89
Jean-Louis Brochen, 66 ans, est un avocat en vue à Lille, ancien bâtonnier. De gauche, il est attaqué sans relâche par des sites proches du FN ou des groupuscules ultra-sionistes, qui le décrivent comme « l'avocat des islamistes ».
Un détail : Me Brochen est le mari de Martine Aubry depuis mars 2004. Jusque là, il restait très discret vis-à-vis des médias. Avec le feu vert de sa femme, il a donné une interview au site au site Nonfiction.fr, dirigé par un ancien conseiller d'Aubry, Frédéric Martel. C'est la première fois que l'avocat évoque ainsi sa vie privée.
Une crème antivenin de serpent
On vient de trouver qu'un composé chimique habituellement utilisé chez les patients cardiaques pourrait bien aider à améliorer la survie des gens qui sont mordus par les serpents. Le monoxyde d'azote pourrait ralentir de 50 % le temps que met le venin à entrer dans la circulation sanguine. Ce temps supplémentaire pourrait sauver de nombreuses vies.Lorsqu'on est mordu par un serpent, les toxines injectées sont de grandes molécules qui se retrouvent d'abord dans les tissus. Ces toxines finissent dans les vaisseaux sanguins, car elles sont trop grandes justement. L'idée est de fermer le flux lymphatique autant que possible. C'est le cas chez les rats et les humains avec ce composé. On a mis de la crème avec du monoxyde de carbone sur des souris puis injecté des doses mortelles de venin de serpent : enfin, on a pris un chronomètre et attendu. Sans crème, la souris vit en moyenne une heure; avec la crème, cette moyenne arrive à une heure et demie. C'est toujours cela de pris.
Politique et religion dans la Rome antique - Quelle place pour la liberté de culte dans une religion d’État ? La Vie des idées
À Rome, l’État ne se mêle pas de la vie religieuse privée des citoyens, même si les dieux font partie de la communauté et vivent parmi eux. Et la religion romaine accepte la pluralité des approches tant qu’on ne lui impose pas la transcendance. Dans cet essai, John Scheid restitue à la religion romaine sa teneur immanente et physique.
The Kolomna Palace As the 8th Wonder Of the World | English Russia
This original wooden palace was built in 1667 -1672, it amazed noblemen and foreign ambassadors with its splendour, so they even named the palace “the eighth wonder of the world”. Unfortunately, 100 years after the palace construction was demolished because of its decrepitude, and only by the command of Empress Catherine II a wooden model of the palace was created before its dismantling. Nowadays the palace recontruction is possible with the help of this model. The Kolomna palace of Tsar Alexei Mikhailovich opened its doors on the 4th of September, 2010. The appearance of the palace is almost identical to that from old images.
Besancenot - Mélenchon, du cuit au cru | Slate
En ce début du XXIe siècle, l’extrême gauche n’a pas de solution sociale. Elle laisse le champ libre à Jean-Luc Mélenchon qui a pour seule recette un populisme antidémocratique qui n'est qu'une posture politicienne habile.
Globule et télescope » De quel côté bercez-vous bébé ?
Votre corps est-il de droite ou de gauche ? Chacun d’entre nous, à condition de n’être pas manchot, sait de quelle main il écrit. Mais être droitier ou gaucher pour tenir un stylo ne préjuge pas forcément des autres latéralisations du corps. Elles sont beaucoup moins connues et pourtant, vous avez un pied préféré pour tirer dans un ballon de football (Platini du droit, Maradona du gauche) ou prendre votre impulsion avant de sauter, un œil favori pour viser et, comme je l’avais révélé dans un billet très populaire, un côté de prédilection… pour embrasser. On sait ainsi depuis quelques années que la majorité des êtres humains ayant pratiqué l’expérience bucco-buccale est droitière du patin, sans que cela ait de lien quelconque avec la main qui écrit ou le pied qui shoote.
Rhône | A mi-mandat, Gérard Collomb remanie son équipe pour mieux préparer l’avenir - Le Progrès
Lyon. A trois ans des municipales, le maire de Lyon débarque le maire du 4 e arrondissement. La majorité PS, dont une partie des élus arrive en fin de cycle, prépare ses équipes de demain
Magouille, les électeurs sont ou la dedans ,
Index de déliquescence des états
La situation du monde en 2010 montre l’Afrique dans le Rouge
Qu'est-ce qu'un terroriste ? - Xavier Molénat, article Philosophie
Quelle différence morale peut-on faire entre un acte terroriste et un acte de guerre légal ? La différence n’est pas si évidente, comme le montre le philosophe Nicolas Tavaglione. Tout d’abord parce que les définitions usuelles du terrorisme sont mal fondées. Le terrorisme se caractériserait-il par les moyens (attentats à la bombe, par exemple) ou les tactiques (sélection aléatoire des victimes) qu’il emploie ? Mais à cette aune, il engloberait un événement comme les émeutes de banlieue de 2005, où des voitures étaient brûlées au hasard. Faut-il plutôt le distinguer par le fait qu’il poursuit des buts politiques et idéologiques, et son ambition de faire régner la terreur ? On peine alors à voir ce qui le distingue d’une guerre conventionnelle. Et si l’on met en exergue la nature non étatique des acteurs, ce sont les guerres de libération qui, là, basculent dans le terrorisme.
Pour pallier ces insuffisances, N. Tavaglione avance une définition qu’il veut « descriptive » et moralement impartiale. Selon lui, il faut entendre par terrorisme « l’usage d’une force extrême potentiellement mortelle inspiré par des raisons politiques et accompli contre un ou plusieurs individus sans uniforme militaire par un ou plusieurs individus sans uniforme militaire ». Pourquoi donc inclure cette finale et surprenante « clause vestimentaire » ? Parce qu’au regard du droit international, le combattant légal est un individu identifiable par son uniforme ou un « signe distinctif fixe et reconnaissable à distance » (Convention de Genève). Par le simple port de l’uniforme, vous voici autorisé à tuer un porteur d’uniforme, lui-même autorisé à vous abattre légalement, quand bien même sa cause serait injuste. Le terrorisme serait donc blâmable dans son refus de cette double « charge de l’uniforme ».
N. Tavaglione retourne finalement le questionnement : pourquoi le simple fait de porter un uniforme permet-il d’échapper à la morale ordinaire qui condamne l’homicide ? On ne peut guère invoquer la légitime défense : d’une part, le droit international autorise à tuer même en l’absence de menaces. D’autre part, il ne tient pas compte de la moralité des acteurs. Le problème, analyse le philosophe, est que cette charge de l’uniforme est de source politique : la collectivité a attribué aux combattants le droit de tuer en toute impunité. Mais de quel droit pouvons-nous autoriser qui que ce soit à violer une norme aussi fondamentale que l’interdiction de l’homicide ? En quoi le fait d’agir en communauté permettrait-il de s’émanciper de la morale ordinaire ? La réflexion sur le terrorisme met ainsi en évidence « la précarité des conceptions reçues de la violence admise »
Nicolas Tavaglione, « Les habits de la mort. Sur la différence morale entre terrorisme et guerre légale », Raisons politiques, n° 41, février 2011.
Etudes bidon, conflits d'intérêts : l'aspartame dans de sales draps | Rue89
Lorsque la Food and Drug Administration (FDA) américaine a homologué l'aspartame (E951), elle a fixé une dose journalière admissible (la DJA) de 40 mg par kilo de poids corporel par jour. Comprendre que jusqu'à cette dose, correspondant à une trentaine de cannettes (33 cl) de Coca light pour un adulte de 60 kilos, le produit est inoffensif.
L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a emboîté le pas à son homologue américaine, et la France a logiquement suivi. Problème : « Cette dose a été fixée au petit bonheur la chance », conclut le député Gérard Bapt, qui a déjà obtenu l'interdiction des biberons au bisphénol A en Europe.
L'enquête de Marie-Monique Robin « Notre poison quotidien » avait commencé à lever le voile sur cette affaire troublante. L'édulcorant le plus utilisé au monde, inventé par la firme Searle dont le patron était alors Donald Rumsfeld [que l'on retrouvera par la suite à diriger la guerre en Irak au côté de George Bush…], a été homologué peu après l'arrivée au pouvoir de son ami Ronald Reagan.
« Une décision purement politique », tranche la journaliste. Marie-Monique Robin a retrouvé la littérature scientifique juste avant l'autorisation :
« Tous les toxicologues de la FDA concluaient que ce produit était potentiellement cancérigène. Et par enchantement, après l'élection de Reagan, l'aspartame a été autorisé. Mais les études étaient toujours aussi contestables. »
27 juin 2011
L'oiseau voit bien plus de couleurs que vous
On sait que les oiseaux se sont parés de couleurs lors de leur évolution ; certaines espèces ont un plumage très chamarré. Cela a souvent inspiré les poètes. Ce qui vient d'être déterminé est que ces couleurs ne représentent qu'une fraction de ce que les oiseaux sont capables de voir. Les scientifiques ont commencé à comprendre depuis peu comment les oiseaux arrivaient à obtenir de si belles couleurs. Les oiseaux ont par ailleurs des cônes dans leurs yeux que nous adorerions avoir également : ces derniers sont en effet sensibles à l'ultraviolet.Il est curieux toutefois que ces oiseaux n'aient pas développé de plumage aux couleurs qui débordent dans l'ultraviolet. Pourquoi est-ce confiné au « visible » (au sens humain) ? Cela ne veut pas dire que l'évolution ne va pas un jour tendre vers cela. Actuellement, les couleurs du plumage des oiseaux couvrent moins d'un tiers de leurs capacités visuelles.
Confucius au supermarché - Jean-François Dortier, article Philosophie
Le respect, la courtoisie, la modération… Autant de valeurs prônées par la sagesse chinoise et remises aujourd’hui au goût du jour par Yu Dan. Le Bonheur selon Confucius est un jackpot commercial pour celle qui a repris les principes édictés par le maître spirituel. Quelle est la clé de ce succès ?
Au supermarché où je vais faire mes courses, je ne manque jamais de m’arrêter au rayon des livres, à l’entrée du magasin. On y trouve des étalages où sont placés les best-sellers : romans, essais, biographies de stars, ouvrages régionaux, de santé et de conseils pratiques. C’est là que j’ai trouvé le livre phénomène de Yu Dan, Le Bonheur selon Confucius.
Sans atteindre encore le rang des best-sellers mondiaux comme Da Vinci Code, Harry Potter ou Millenium, Le Bonheur selon Confucius fait tout de même partie des phénomènes éditoriaux hors normes. Sorti en Chine en 2006, il y aurait été vendu à 10 millions d’exemplaires, et il continue à faire partie des meilleures ventes dans de nombreux pays.
Son auteure, Yu Dan, avait 41 ans en 2006, lorsqu’est paru le livre. Cette charmante enseignante de littérature à l’université de Pékin a d’abord été propulsée sur le devant de la scène par une émission de télévision sur la CCTV, la chaîne nationale chinoise. Sa série de cours sur Confucius a captivé des millions de spectateurs. Quand le livre issu de ses émissions est paru, les lecteurs se sont rués dans les librairies. Au salon du livre de Pékin, 60 000 personnes s’étaient pressées en d’interminables files d’attente en espérant faire dédicacer leur livre.
Comment minimiser son exposition aux ondes : Ondes électromagnétiques : à quoi sommes nous vraiment exposés ?
La question cruciale de l'effet des ondes électromagnétiques sur la santé humaine n'est toujours pas tranchée. Toutefois, les radiofréquences viennent d'être classées comme peut-être cancérogènes par l'OMS et l'électrosensibilité semble en voie d'être médicalement reconnue. Il est donc légitime de chercher, sinon à boycotter totalement les technologies sans fil, au moins à minimiser son exposition. Comme nous l'ont prouvé nos mesures, cela n'est pas chose facile, la réalité technique allant parfois à l'encontre de ce que suggère le bon sens.
Bien que les antennes relais de téléphonie mobiles cristallisent les peurs, il faut plus s'inquiéter des émetteurs que l'on a tout le temps sur, ou près de soi. En effet, parmi notre éventail de mesures, le champ électromagnétique le plus intense était celui créé par les téléphones eux-mêmes lorsqu'ils étaient incapables de capter leur réseau. Au contraire, lorsque les téléphones bénéficiaient d'une bonne réception, le champ électromagnétique qu'ils créaient était le moins puissant de toutes nos mesures. La première précaution à prendre est donc de ne téléphoner que lorsqu'on est dans une zone de bonne réception. A ce sujet, les femtocell (déjà vendues par SFR en France et qui devraient être généralisées par Free) semblent une bonne solution : elles-mêmes émettent une puissance vraiment très faible et elles minimisent l'émission des téléphones mobiles.
Après les téléphones cellulaires hors couverture, venaient les téléphones DECT, dont la puissance est souvent insoupçonnée. Il est donc important de s'orienter vers des modèles "Eco" ou de revenir aux téléphones filaires. Les parents inquiets doivent savoir que les baby-phones fonctionnent également en DECT. Enfin, les réseaux WiFi étaient parmi les moins puissants.
Notre test ne nous a malheureusement pas permis de mesurer de nombreuses autres technologies, telles que le Wimax, le Bluetooth, le CPL. De même, il nous a été impossible de voir le comportement des réseaux de téléphonie 4G, pas encore opérationnels.
Jean-Pierre Mouchard, père de Laurent Joffrin et homme de confiance de Jean-Maris Le Pen - Libération
Jean-Pierre Mouchard, 70 ans, se défend d'être ou d'avoir été
l'homme de confiance de Jean-Marie Le Pen. Et plus encore depuis qu'une information judiciaire plane au-dessus de ses affaires. Il a pourtant suivi de très près la carrière du président du FN. Dans les années 70, lorsque Le Pen est encore éditeur de disques guerriers, Mouchard fait dans l'édition de livres par correspondance. Ils font de la voile ensemble et finissent par s'associer, Le Pen mettant de l'argent chez Mouchard. En 1981, Mouchard ouvre un compte en Suisse, en y offrant une procuration à Le Pen. Selon les deux amis, ce compte, qui a fonctionné au moins jusqu'en 1986, n'avait rien d'une caisse noire. Il s'agissait encore d'édition. D'un prêt de Mouchard à la maison de disques de Le Pen. Entre-temps, Mouchard crée en Suisse une kyrielle de sociétés d'édition (Crémille, Famot et Ferni), aujourd'hui sans activité réelle, bien qu'elles continuent d'avoir des bureaux à Genève. En 1991, Mouchard devient trésorier de deux associations de collecte de fonds (Cotelec et Cotelec-JM Le Pen) du FN. C'est en 1992 qu'il fait son entrée dans le monde du gazole au sein d'Ecotec. Un beau-frère chez Elf-Aquitaine l'aidera à vendre le brevet du gazole allégé au groupe pétrolier. Des fonds importants circulent entre les sociétés d'édition, Ecotec et de mystérieuses sociétés panaméennes. Discrétion des affaires obligent, Mouchard espérait éviter l'ouverture d'une information judiciaire sur Ecotec. «Un bon accord vaut toujours mieux qu'un bon procès», déclarait-il au Journal de Genève.
Les journalistes, le clientelisme, la connivence : le Siècle
- A propos du Siècle.Chaque mois, Le Siècle se réunit. Franz-Olivier Giesbert en est membre.
Il s'agit, précise-t-il, d' « un club très sérieux, qui mêle hauts fonctionnaires, hommes d'affaires, journalistes. Très utile pour faire des rencontres, obtenir des informations ».
En 1988, le transfert de Giesbert du Nouvel Observateur au Figaro se serait joué lors d'un des dîners du club. Tout comme, plus récemment, l'irruption d'Édouard de Rothschild dans le capital de Libération, négociée à table entre Serge July et le banquier. Pour appartenir au Siècle, il faut être coopté par deux parrains, obtenir l'appui de deux tiers des membres du conseil et acquitter une cotisation annuelle de 150 euros. Le dîner (62 euros) permet, selon Michèle Cotta, nouvelle icône des apprentis-journalistes de Sciences-Po, de « rencontrer des personnalités influentes dans tous les domaines ». Quelque six cents membres composent « le plus prestigieux des cercles de décideurs hexagonaux », au nombre desquels on retrouve les habituels Maurice Lévy (Publicis), Patrick Poivre d'Arvor, Jack Lang, Nicolas Sarkozy, David Pujadas, Thierry Breton, Christine Ockrent, Dominique Strauss-Kahn, Ernest-Antoine Seillière et Laurent Joffrin.- A propos de la cooptation, des services rendus, de la connivence, etc.
Qu’on dirait, pour reprendre le terme de Marine Le Pen : une caste.Laurent Joffrin (…) – qui tutoie Sarkozy – est tout aussi sensible aux flatteries que ses subordonnés lui servent. Il fut « en hausse » en 2001 : « Laurent Joffrin, directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, a reçu le prix du Mémorial prix littéraire décerné par la ville d'Ajaccio, pour son ouvrage Les Batailles de Napoléon paru aux Éditions du Seuil »… Et encore « en hausse » l'année suivante : « Laurent Joffrin a reçu le prix du Livre politique 2002 [...], décerné au directeur de la rédaction du Nouvel Observateur par un jury présidé par Blandine Kriegel*».
*
En 2004, les membres du jury étaient : Jean-Michel Blier (France Info), Gérard Courtois (Le Monde), Jean-Michel Helvig (Libération), Anita Hausser (LCI), Catherine Pégard (Le Point), Arlette Chabot, Michèle Cotta, Jean-Pierre Elkabbach, Bernard Guetta, Laurent Joffrin…
Comment le Hula Hoop sauva l'industrie plastique - Techniques de lIngénieur
l'industrie plastique est au bord de la faillite. Ses entrepôts regorgent de ce polymère dont personne ne veut et ils n'ont pas les fonds nécessaires pour mettre sur le marché ce nouveau plastique, le MDME (Medium Density Polyethylene). C'est un jouet, le Hula Hoop, qui sauvera l'industrie. En 1958, Richard Knerr et Arthur Merlin, du fabricant de jouets Wham-O, en Californie, décident de mettre sur le marché un cerceau que l'on fait tourner autour de sa taille. L'idée est influencée par les cerceaux utilisés dans les cours de gymnastique. Mais ces cerceaux sont faits de bambou, un matériau trop cher pour une production massive. Knerr et Merlin entendent parler de ce nouveau plastique dont l'industrie cherche à se débarrasser à des prix dérisoires. Les premiers Hula Hoop faits de HDPE sont lancés sur le marché au début de 1958.
Pour ceux qui ne l’ont pas vécu, il est difficile d’imaginer l'engouement causé par le Hula Hoop en si peu de temps. Vingt-cinq millions de cerceaux se vendent en quatre mois aux États-Unis seulement et plus de 100 millions la première année. Les entrepôts se vident du HDPE et l'industrie, qui obtient les capitaux nécessaires pour introduire le MDME, est sauvée de la faillite.
Le chanteur Patrick Hernandez perçoit encore aujourd'hui entre 1000 et 1500 euros...
Le chanteur Patrick Hernandez perçoit encore aujourd'hui entre 1000 et 1500 euros par jour (en tant qu'auteur, compositeur et interprète) grâce à son tube "Born to be Alive".
Leisure in 2006 A.D. (1906)
What's the biggest problem people thought we'd be facing in the 21st century? Mid-air jetpack collisions? Disobedient robot servants? No, the greatest problem of our futuristic world was supposed to be too much leisure time.
Fait divers, triste fait divers, dis-moi comment va la société | Slate
Les crimes, les délits nous offre souvent l’occasion d’apporter un éclairage sociétal, de faire parler un expert ou d’élaborer une analyse des faits sociaux contemporains. Mais la surinterprétation et le fast-thinking atteignent parfois leurs limites… Jusqu’à la caricature?
« Les moutons français vont être tondus après 2012 » | Atlantico
Une étude Eurostat vient de confirmer une tendance qui se dessine depuis plusieurs années : la France fait désormais partie des pays les moins riches de la zone euro. Pour l'économiste Michel Godet, une crise similaire à celle que traverse la Grèce est inévitable... et nécessaire pour que la France se remette dans le droit chemin.
BMS, AZ diabetes drug will face scrutiny - FierceBiotech
Following safety issues associated with Takeda's Actos and GlaxoSmithKline's Avandia, regulators and physicians will be on high alert for negative side effects from Bristol-Myers Squibb and AstraZeneca's new diabetes drug candidate dapagliflozin.
The compound is up for panel review next month, but analysts note that even if approved, doctors will be slow to prescribe the drug until more long-term safety data is available. Actos and Avandia were linked to cancer and heart problems, respectively. Both drugs work by controlling sugar-regulating hormones, while dapagliflozin blocks sugar from being absorbed.
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"Increasingly, people are on the lookout for problems with these drugs," Cleveland Clinic's Laurence Kennedy said in an interview with Bloomberg. "There will always be a market for finding newer and different ways to help control blood sugar, but the newest ways will be under increasing scrutiny."
Dapagliflozin is the first in a new class of drugs called SGLT2-inhibitors. Johnson & Johnson, Eli Lilly, Boehringer Ingelheim, Astellas Pharma, Isis Pharmaceuticals and Lexicon Pharmaceuticals are all developing drugs in this class, and all will be closely watching next month's FDA panel.
Le faux livre pour enfants qui venge les parents américains | Rue89
Aux Etats-Unis, le best-seller de la saison est un petit livre de comptines plein d'animaux bariolés, de bébés assoupis, et de rimes truffées de « fuck » et « shit » (« putain » et « merde »).
« Go the Fuck to Sleep », un titre que l'on pourrait traduire par « endors-toi bordel ! », est devenu le chouchou des jeunes parents américains. La réaction majoritaire peut se résumer ainsi : « Enfin quelqu'un qui ose exprimer ce que je ressens ! »
Dans cette parodie des berceuses en vers, chaque page met en scène la frustration croissante d'un parent qui ne parvient pas à faire dormir son bébé. « Ton ours en peluche, je l'emmerde ! », pense tout haut le parent du récit.
Taboue, refoulée, la rage parentale éclate au grand jour, et l'auteur Adam Mansbach invente un nouveau genre : le faux livre pour enfants qui fait rire les adultes.
Many Advanced Breast Cancer Patients Do Not Receive Recommended Treatment
Radiation after a mastectomy for women with advanced breast cancer saves lives, but almost half of these patients do not receive it. That is the conclusion of a new study published early online in CANCER, a peer-reviewed journal of the American Cancer Society. The study's results indicate that treatments that have proven their life-saving potential in clinical trials may not be available to many patients.
26 juin 2011
Notre société est-elle plus violente ? - Laurent Mucchielli, article Sociologie
Depuis trente ans, les actes violents sont de moins en moins nombreux dans notre société. Cependant, ils nous semblent de plus en plus intolérables.
Le thème de « la violence » est devenu central dans le débat public à partir du début des années 1990. Les responsables politiques commentent en permanence diverses statistiques s’y rapportant : violences sexuelles, violences dans « les banlieues », violences à l’école, homicides, braquages, etc. Les médias relayent et illustrent ces interrogations en puisant dans l’intarissable source des faits divers. Dans la population, il est fréquent de commenter « toute cette violence » pour exprimer une inquiétude allant des tags sur des murs de son quartier jusqu’aux phénomènes de terrorisme international. C’est dire si beaucoup de choses s’amalgament à travers cette notion de « violence » et si le risque est grand de ne faire qu’ajouter aux discours et aux « prénotions », comme disait Émile Durkheim. Si elle veut s’en prémunir, l’analyse à prétention scientifique doit poser deux constats préalables.
Oreillers : Douillets mais infestés de microbes | France Soir
Une étude britannique révèle que les oreillers sont de véritables nids à microbes. Laver les taies ne suffirait pas à tuer les germes.
A défaut de dormir sur vos deux oreilles, vous dormez sur un nid à microbes. Les résultats d'une étude menée par le London National Health Service (NHS) Trust et l'hôpital Saint-Bartholomew révèlent que nos oreillers abritent une multitude de bactéries. Si après avoir lavé leurs taies d'oreillers, certains ont l'impression de dormir dans un écrin de propreté, ils se trompent. Changer l'enveloppe de l'oreiller n'est qu'un « cache-misère ». Présentées récemment lors de la conférence Healthcare Associated Infections 2011 – le 22 juin à Londres – les conclusions rapportent en effet qu'après deux ans d'utilisation, plus d'un tiers du poids d'un oreiller est composé de peaux mortes, de bactéries, d'acariens vivants ou morts et d'excréments d'acariens. Les auteurs de l'étude ont même trouvé, dans certains cas, des staphylocoques dorés – résistants aux antibiotiques – , des virus (grippe, varicelle) et la présence de la fameuse bactérie E.coli.
« Un milieu de culture idéal »
Si ces résultats ont de quoi faire frémir, ils ne surprennent pas le docteur Frédéric Saldmann. Spécialiste anglais de l'hygiène et auteur du livre On s'en lave les mains, il explique que selon lui l'oreiller « apporte à boire grâce à notre transpiration, nos larmes et les projections de la toux et des éternuements ». Pire, « il fournit à manger puisque nous perdons des squames de peau toutes les nuits. Et, en plus, la ménagerie peut proliférer à son aise, grâce à la chaleur de notre corps nuit après nuit ». Notre oreiller est ainsi tellement douillet et confortable que les bactéries s'y développent « aussi bien que dans une boîte de Pétri contenant un produit gélatineux ».
Que faire ?
Changer ses taies n'est pas suffisant pour garantir l'hygiène de ses oreillers. Pour s'assurer que cet espace ne devienne pas le terrain de jeu de bactéries, il est ainsi recommandé de le laver régulièrement – tous les trois mois - et de le changer tous les ans. Alors qu'un tissu standard laisse passer les microbes, le docteur Saldmann rappelle qu'il existe des taies antibactériennes et que sécher ses oreillers au soleil ne permet pas de tuer les germes qui y grouillent.
Nouvelle Part-Dieu à Lyon, post-2020
Oublions un peu les tours. Le Grand Lyon souhaite insuffler un peu de vie et de confort dans un secteur où, selon Gérard Collomb, "on se croise mais où l'on ne se rencontre pas". Serre géante à l'entrée du centre commercial, toit animé de terrasses de café au-dessus de la galerie marchande et agrandissement du hall de gare figurent parmi les pistes à l'étude. Tour d'horizon des possibles.
Il n'y a pas que la Confluence, Carré de Soie ou Décines qui sont promis à des mutations urbanistiques. La Part-Dieu est au cœur de projets multiples. Prolongement de la ligne T4, réaménagement de la rue Garibaldi, extension récente du centre commercial, érection de la tour Oxygène et celle, annoncée, de la tour Incity ont tous pour théâtre ce deuxième cœur de Lyon, né en 1957 quand Louis Pradel a racheté les terrains militaires pré-existants et boosté par l'inauguration de la gare TGV, en 1983. A court terme, se pose la question de la saturation de la gare. Et le Grand Lyon a mandaté le cabinet l'AUC pour imaginer le quartier dans un avenir proche, 2020 et un peu au-delà. Des pistes de changements se dessinent.
Démolition de l'immeuble sur le parvis de la gare
La Part-Dieu est soumise à des mutations que l'enjeu de la construction de nouvelles tours vient un peu occulter. Oui, Incity devrait se faire : le chantier de démolition de la tour UAP va reprendre cet été et durera dix à douze mois. Mais pour le reste, les tours constituent souvent "des mythes", comme l'affirme François Decoster, architecte urbaniste chez l'AUC. Bien que très central, le quartier ne fait pas rêver. "Il a surtout une visée utilisatrice", souligne l'urbaniste. "C'est un lieu où l'on ne se croise mais où l'on se rencontre pas", affirme le maire de Lyon. C'est vrai qu'il y a un peu de Chatelet les Halles à la Part-Dieu. Un symbole de la ville-vite, de la trépidante urbaine.
Oublions un peu le quartier d'affaires. Il faudra d'abord réconcilier la Part-Dieu avec la ville. Comme le fait remarquer Gérard Collomb, un voyageur qui sort de la gare ne voit pas où est la Presqu'Ile. Sa perspective bute sur l'immeuble de bureaux planté au milieu de la place Béraudier qui sera démoli d'ici un à deux ans. "Aujourd'hui, pour rallier la gare depuis la rue Garibaldi, beaucoup traversent la galerie marchande. Demain ce sera davantage possible par la rue Servient et par la rue docteur Bouchut", explique l'urbaniste. Le cabinet pose la question du prolongement de la rue du docteur Bouchut, aujourd'hui fermée à l'entrée sud du centre commercial et prolongée par un mail piéton jusqu'au boulevard Vivier-Merle (voir photo ci-contre). Ce passage pourrait être élargi en rognant sur les terrains de France Télévision et complété d'une voie routière (esquisse ci-dessous).
Une nouvelle entrée du centre commercial
De l'autre côté, la rue Servient serait repensée de façon à faciliter les déplacements. Les piétons qui osent l'emprunter le font "à leurs risques et périls, serrés contre le mur", selon le maire de Lyon (voir photo ci-contre). Pour leur aménager plus de place, il faudra revoir l'entrée au parking LPA qui se fait par cette voie (la sortie se fait rue de Bonnel). "Il faudra peut-être relier les deux parkings, LPA et Cuirassiers, situé rue docteur Bouchut", suggère Bernard Badon, directeur de la mission Part-Dieu. La place gagnée serait réservée aux piétons, dans un cheminement couvert intégré au centre commercial. A l'angle de la rue Servient et du boulevard Vivier Merle, l'AUC imagine une serre géante, destinée à marquer une nouvelle entrée de la galerie marchande, plus dans l'axe du parvis de la gare (esquisse ci-dessous). L'autre entrée, l'actuelle, devient inutile, redondante avec celle du cours Oxygène mitoyenne. La serre fait aussi office de vitrine. "Elle vise à montrer que le centre commercial a plusieurs niveaux et un toit accessible", explique Bernard Badon.
Un toit terrasse équivalent à Bellecour
Car le toit, aujourd'hui couvert par les autos, deviendra un lieu de vie, animé par des bars et des restos à ciel ouvert. "C'est une surface équivalente à la place Bellecour", réalise Gérard Collomb. Le potentiel clientèle grouille en-dessous, entre les différents niveaux de boutiques visités par 100.000 visiteurs quotidiens. Des stationnements pourraient ainsi être supprimés. Le toit accueillera peut-être aussi les cinémas qui ne sont pas de première jeunesse, méchamment concurrencés par les UGC. Ce projet s'insère dans la volonté de créer une diagonale d'intérêt, depuis la halle Bocuse dont le toit sera aussi végétalisé d'ici à un an, vers la gare en passant par l'Auditorium et le lot État, un terrain vierge qui borde le centre commercial et qui fait face au Grand Lyon. Cet espace pourrait accueillir une autre serre, abritant un jardin et des cafés en mezzanine. Mais l'AUC souhaite surtout y valoriser un espace public gratuit et pas seulement des terrasses de café.
Aux alentours, Gérard Collomb veut animer les rez-de-chaussée, aujourd'hui dévolus aux activités de service. L'urbaniste relève des architecture intéressantes à valoriser, comme l'Auditorium. "Nous n'avons pas une démarche de tout construire, tout reconstruire, une démarche de table rase", prévient-il. Ce sont paradoxalement des constructions récentes qui sont amenées à disparaître, comme l'immeuble de bureaux de la place Béraudier ou les hôtels Novotel et Athena, au sud, que l'urbaniste imagine remplacés par des enseignes plus modernes. Accor et Intercontinental pourraient se partager un complexe de 600 chambres, répondant à un besoin exprimé par la communauté urbaine. Les hôteliers actuels, qui constatent l'obsolescence de leur bâtiment, pourraient participer au tour de table.
"Déconverger" les transports collectifs ?
Un débat porte enfin sur la convergence des transports en commun. Aujourd'hui, il y a la station de métro, sous le centre commercial, la station de tram T1 et de bus, entre le centre et la gare, et la station des T3 et Rhônexpress, à l'est de la gare, place de Francfort. Un problème ? Pas pour François Decoster qui "veut desserrer les surfaces d'échange" . Selon lui, les différentes lignes n'ont pas vocation à converger en un seul point, au risque de saturer. Il est vrai que 70.000 usagers se croisent tous les jours sur ces plateformes d'échange. D'ailleurs, l'urbaniste envisage qu'une station desserve le site depuis la rue Garibaldi, si un transport en commun en site propre suit cet axe. "La Part-Dieu doit être accessible depuis ses quatre faces. Les stations Brotteaux et place Guichard sont proches et doivent aussi conduire au site grâce à un aménagement de l'espace public". Une vision qui suppose que les usagers sont prêts à marcher un peu pour leur correspondance... Le maire de Lyon prévoit "lors du prochain mandat", d'accroître la capacité des rames du métro. "Ce qui implique de casser certaines stations", prévient-il.
©maxppp/JEGAT MAXIMEQuel devenir pour la gare ?
La gare, menacée d'embolie avec ses 120 000 usagers/jour, va devoir muter. La saturation annoncée des quais pourraient amener à la création d'une gare TGV souterraine, comme à Barcelone à horizon 2025-2030. En attendant, à la fin de l'année sera inauguré un nouveau quai, le n°K. Serait aussi à l'étude un quai L, à moyen terme. Mais ce projet ne résout pas le problème de l'asphyxie du hall actuel, soumis à d'importants flux piétons. Au lancement de T3, il avait été question de créer un passage souterrain avec tapis roulant sous le hall actuel, entre la station de métro et l'arrêt de tram de la place Francfort. Un projet sans doute onéreux : le cabinet d'urbanisme préfère envisager l'élargissement du hall actuel. D'ici à 2018 à 2020, la mission Part-Dieu pense multiplier les entrées pour mieux répartir les flux. "Pourquoi ne pas envisager des ouvertures sur les rue Lafayette et Paul-Bert ?", avance Bernard Badon.