Enfin, les intellectuels de gauche nous montrent leurs vrais visages. Enfin pour ceux qui n'auraient pas compris comment ces messieurs jegent le peuple. Pas seulement les politiques de droite (ou de gauche mais qui ne pensent pas comme eux). Non ils voient les parents de victime comme des cons! En fait tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont des cons ! Et les defenseurs de ces messieurs nous racontent qu'il s'agit d'une blague potache, pour rigoler. Oui, peut être mais cela traduit tellement l'état d'esprit de nos élites bien pensants de gauche!
Le "mur des cons" continue de susciter la polémique. Ces photographies de personnalités, accrochées dans le local du Syndicat de la magistrature (SM), classé à gauche, épinglent Nicolas Sarkozy, Patrick Balkany, Alain Minc, Béatrice Schönberg ou encore Etienne Mougeotte. Mais la présence de parents de victimes dans le trombinoscope a également choqué.
Jean-Pierre Escarfail, père de Pascale, violée et tuée par Guy Georges, lui aussi sur le mur, a tenu à réagir. Selon lui, le SM est "déconnecté des réalités. Pour eux, les vraies victimes ne sont pas les victimes, mais ceux qui sont en prison…", explique-t-il dans un entretien au Figaro, publié mercredi. Président de l'Association pour la protection contre les agressions et les crimes sexuels, il attend de "rencontrer leur président [du SM] pour parler de la protection des victimes".
Philippe Schmitt pointe une "insulte" à la mémoire de sa fille
L'Institut pour la justice, association classée à droite, a dénoncé "des pratiques scandaleuses de la part de ceux qui doivent dire le droit, qui, en plus, confine au sordide en épinglant le père d'une des victimes de Guy Georges", Jean-Pierre Escarfail. L'Institut réclame la dissolution du syndicat.
Quant à Philippe Schmitt, dont le portrait figure également sur le "mur des cons", il dénonce une "insulte" à la mémoire de sa fille, Anne-Lorraine Schmitt, assassinée en 2007 dans le RER. "Ce sont (...) toutes les familles de victimes qui peuvent ainsi constater le mépris et la haine que ce syndicat de magistrats éprouve à leur égard." Il réfléchit à d'éventuelles suites judiciaires, explique-t-il dans un entretien à L'Echo.fr.
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