16 octobre 2010
15 octobre 2010
Un deuxième enfant ? Cela dépend... du premier !
Un deuxième enfant ? Cela dépend... du premier !
Sébastien BohlerQu'est-ce qui décide les parents à faire un deuxième enfant ? D'après le psychologue Markus Jokela, tout dépend du premier. Est-il tourné vers les autres, facile à vivre et intelligent ? On envisagera un deuxième. Est-il conflictuel, peu sociable et moyennement intelligent ? Les parents s'abstiennent. Seule surprise de l'étude : les parents hésitent aussi quand le premier marque une forte attirance pour la nouveauté (nouveaux amis, nouveaux jouets). Finalement, lorsque le premier enfant est facile, il y a de la place pour un deuxième. Mais un touche-à-tout asocial et rebelle ne donne pas envie de recommencer.
Pour la Science - Actualité - Défense chimique du territoire
Défense chimique du territoire Les récepteurs des hormones mâles augmenteraient dans le circuit du plaisir lorsqu'il faut défendre son territoire contre un rival. Sébastien Bohler
Le libéralisme, une philosophie sociale - Arnault Skornicki, article Philosophie
Le libéralisme, apologie du laisser-faire et individualisme débridé ? Loin de se réduire à ces slogans, il s’agit d’une tradition morale et politique vieille de trois siècles, aussi plurielle que contrastée, aussi riche que contestée, mais soudée par quelques idées-forces.
Vers une victoire du "vieux" droit d'auteur...
Vers une victoire du "vieux" droit d’auteur...
Le 04 Octobre 2010 dans So_cult’ par Emmanuel TorreganoLe monde du libre n’a pas réussi à renverser la vieille idole. Le droit d’auteur, cette invention née de la révolution française ne fait pas que perdurer, elle est en passe de gagner la guerre sur le réseau. Les décisions de justice tombent les unes après les autres, et la tendance ne se dément pas. Les sauvageons du réseau, y compris ceux qui ont les biceps sur-vitaminés, rentrent dans le rang en signant des contrats. Le rêve n’aura pas duré bien longtemps.
14 octobre 2010
Le «vote hormonal»
Les hormones poussent aux rencontres sexuelles, modulent l'appt ou le sommeil ; on sait maintenant qu'elles influent sur les choix ctoraux. Des scientifiques de l'Universitu Michigan publient les rltats d'une de risau plus fort de la campagne prdentielle amcaine de 2008. cette que, ils avaient demand de jeunes ctrices si elles souhaitaient voter pour Barack Obama ou pour son rival John McCain, avant de leur poser des questions plus intimes sur leur cycle menstruel. Ils ont constatue les jeunes femmes, es de 18 2 ans, avaient plus de probabilite voter pour Obama lorsqu'elles approchaient de leur pic d'ovulation. Obama est percomme un reproducteur potentiel, dont l'attrait est maximal lorsque les jeunes femmes sont en pode de fertilit
« Cocaïne Nation »: pourquoi il faut légaliser la coke
Article intéressant, mais comme pour l'alcool ça ne marcherait pas : voir le nombre d'alcoolique et les problèmes terribles que cela engendre. Seul point positif, l'état pourrait toucher la TVA sur la coke!
Du paracétamol contre la solitude
L'isolement et le rejet social causent une souffrance comparable a douleur physique, ce qu'ont montre nombreuses des de psychologie et d'imagerie cbrale. Partant de ce constat, des neurobiologistes de l'Universitu Kentucky ont di'effet du paracmol, un analgque bien connu, sur les sentiments de rejet social dans un groupe d'diants. Les diants devaient participer n jeu en ligne et certains pouvaient e exclus du jeu arbitrairement, ressentant alors une frustration li'isolement. Ceux qui avaient pris du paracmol eur insu avant la sce ont obtenu, dans des questionnaires d'luation de la souffrance morale, des scores infeurs eux des autres. Des mesures de leur activitbrale ont montru'une zone clans la perception de la douleur aussi bien physique que psychologique, le cortex cingulaire anteur, s'activait moins.
Ces observations confirment le lien oit qui existe entre la souffrance physique et morale, et l'existence de substrats neuronaux communs es deux types de souffrance. L'anesthe physique prnirait en partie contre les diffntes douleurs morales que nous pouvons rencontrer, ruptures, deuils, exclusion, abandon. Dans une certaine mesure seulement, car les effets constatsont limit
Des dépenses militaires dans la plus grande discrétion
En ces temps de restrictions budgétaires et de mobilisation populaire avec grèves reconductibles, le gouvernement français s’efforce de ne pas attirer l’attention sur certaines dépenses, d’apparence quelque peu « somptuaire », qui pourraient agiter le chiffon rouge. Parmi d’autres, la modernisation de la panoplie de la dissuasion nucléaire, l’achat à « l’ami Dassault » de chasseurs Rafale supplémentaires, et la livraison dans quelques semaines du nouvel avion présidentiel intercontinental…
La guerre des devises aura-t-elle lieu ? | Telos
La guerre des devises aura-t-elle lieu ?
Barry Eichengreen 05 Octobre 2010
La « guerre des devises » évoquée par le ministre des Finances brésilien présente des dangers énormes pour le commerce mondial et les systèmes financiers. Peut-on l’éviter ? Oui, si les États-Unis, le Japon et l’Union européenne s'engagent ensemble dans une politique d’assouplissement quantitatif, de façon à ce que chacune des trois grandes économies puisse exporter davantage vers les autres. Pour les marchés émergents, le risque réside dans l'inflation, la formation de bulles, et la tentation de prendre des mesures de rétorsion. Pour protéger leurs secteurs clés, ils devraient encourager la demande intérieure de produits manufacturés.
Les socialistes et la rue | Telos
Gérard Grunberg 14 Octobre 2010
Le Parti socialiste est-il un parti parlementaire comme il le prétend ? Adhère-t-il franchement aux principes du gouvernement représentatif ? À la lecture des déclarations de ses dirigeants concernant le projet de loi sur la réforme des retraites, il est légitime de se poser ces questions. Les déclarations se succèdent pour appeler à la mobilisation populaire contre ce projet. Que les socialistes soutiennent le mouvement de protestation, quoi qu’on en pense sur le fond, est compréhensible, légitime et conforme à leur identité. Mais c’est la teneur de leur discours qui pose problème.
13 octobre 2010
Rasoir d'Ockham
Le rasoir d’Occam ou rasoir d’Ockham est un principe de raisonnement que l'on attribue au frère franciscain et philosophe Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), mais qui était connu et formulé avant lui :
- « Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité » (« pluralitas non est ponenda sine necessitate »).
L'énoncé « Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem », littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits.
Une formulation plus moderne est que « les hypothèses les plus simples sont les plus vraisemblables ». C'est un des principes fondamentaux de la science.
Vers une fracture générationnelle - Xavier Molénat, article Sociologie
Pour la première fois depuis longtemps, les jeunes générations connaissent une entrée dans la vie adulte plus difficile que celle de leurs parents. Au-delà des inégalités socio-économiques, cela pose des problèmes concernant l’avenir du régime de protection sociale, fondé sur la solidarité entre générations.
Culte et déclin de la virilité - ANDRÉ RAUCH
Au xixe siècle, à l'armée, à l'usine, au cabaret et dans tous les cercles masculins, c'est à partir d'une virilité affichée que se construisaient les identités masculines. Les progrès de l'égalité entre les sexes ont progressivement introduit un renversement dans les statuts et les rôles des hommes.
12 octobre 2010
Premier patient traité avec des cellules souches embryonnaires humaines
Des médecins américains ont réalisé une première mondiale en traitant un patient avec des cellules souches embryonnaires humaines dans le cadre d'un essai clinique approuvé par les autorités, a annoncé, hier, la firme de biotechnologies Geron Corporation. L'objectif de ces injections est de régénérer des cellules nerveuses endommagées de la moelle épinière.
Tous droits réservés (2010) LES ECHOS
11 octobre 2010
Faut-t-il interdire de calculer « PI » en binaire ? Le faire reviendrait à commettre d'innombrables crimes et violations de brevets
Dans cette ère où il ne passe pas une semaine sans qu'un affrontement judiciaire pour violation de brevets n'éclate, certains informaticiens cherchent à se protéger et à mettre en garde la communauté.
Parmi eux « viterbiSearcher », un internaute – qui ne manque pas d'humour - s'est rendu compte que le seul fait de calculer PI en binaire reviendrait tout simplement à enfreindre tous les droits d'auteurs, toutes les marques déposées et à commettre d'innombrables délits et même des crimes.
Pourquoi ?
Parce que les chiffres du développement décimal de Pi sont distribués aléatoirement. Pi est aussi un chiffre irrationnel, son écriture décimale n'est ni finie ni périodique.
De ce fait, toutes les combinaisons de chiffres possible peuvent s'y trouver, et par conséquent, toute séquence binaire et donc tous les mots, textes, phrases, films, logiciels...
Mais aussi tous les virus informatiques.
Et des numéros de cartes de crédit.
Ou même des informations classés Top Secret par les agences de renseignements de n'importe quel pays.
Et même des plans pour tuer le président ou sur des révélations sur l'assassinat de JFK, plaisante « viterbiSearcher ».
Alors avis à la communauté, ne prenez pas le risque de calculer PI en binaire.
On ne sait jamais qui surveille votre PC.
Antibiotiques : chronique d'un désastre annoncé
10 octobre 2010
L’égalité des chances : mythe ou réalité ? ou la génétique et l'acquis c'est vrai que pour les chiens
J'adore ce genre de statistique. Mais quand même, au final, la génétique ça compte pour du beurre. On ne peut pas imaginer que des parents intelligent donnent naissance à des enfants un peu plus intelligent et que donc au final c'est normal que les enfants de cadres sup soient cadre sup. Ensuite, l'acquis, à vivre dans un milieu quelconque on n'a plus de mal à imaginer le reste (ex: fils de comédien sont à presque 100% comédiens...etc...) alors de la à parler toujours d'égalité des chances ....