La vie du sériephile n’est pas toujours facile. Outre une tendance à se coucher tard, à manger devant la télé, à citer Sheldon Cooper ou Gaius Baltar, à suit up pour des soirées legend – wait for it – dary , à… enfin, une tendance au geekisme, le fan de séries ruine son propre plaisir, malgré lui, quand il s’assoit devant un polar. La semaine dernière, je regardais deux épisodes des Experts, les deux premiers de la saison 10. Deux enquêtes pas désagréables, mais pour lesquelles il m’a suffit d’à peine 5 minutes pour deviner qui était le coupable. La faute à ce que j’appellerais ici le syndrome du coupable évident.
via blog.slate.fr
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