En censurant treize articles de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi 2), le Conseil constitutionnel a étrillé le dernier projet sécuritaire porté par le gouvernement. Les sages n'auront en revanche pas fait barrage à une disposition particulièrement pernicieuse, l'article 4. En effet, celui-ci autorise le filtrage des sites web sans le contrôle de l'ordre judiciaire.
via numerama.com
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