A propos de l’Allemagne qui s’apprête à proposer l’automatisation des sanctions financières pour les pays non vertueux, les analystes commencent à dénoncer les artifices utilisés par Berlin dans la présentation son déficit (« honteusement truqué » selon l'un d'eux), le Handelsblatt lui-même pointe que la dette allemande n'intègre pas la majeure partie des dépenses prévues pour les retraités, les malades et les personnes dépendantes, et que son vrai montant n’est pas de 2000 milliards, mais de 5000 Mds d’euros soit 185% du PIB… comme la Grèce.
via atlantico.fr
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