Il est intéressant, en définitive, de voir que l’on retrouve ainsi les grands courants progressistes face à la mondialisation. Les altermondialistes semblent défendre un agenda social-démocrate à l’échelle globale passant par une redistribution des richesses, une régulation de la mondialisation et une protection des biens communs au terme d’une réforme de la gouvernance globale. Les démondialisateurs, eux, semblent défendre un agenda que l’on pourrait qualifier de communiste. Enfin, un troisième courant, autogestionnaire, lui, défend une « mondialisation par le bas », dont le mouvement des « Indignés » parti d’Espagne depuis le 15 mai 2011 semble être l’une des meilleures illustrations.
via telos-eu.com
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