«Allemagne, qu'as-tu fait?»
Qui sait si ce cri du cœur*, cet élan d'angoisse et d'hystérie narcissique rejoindra un jour le panthéon du maniérisme pop-culturel aux côtés de «Don't Cry for Me Argentina». Mais le plaidoyer déchirant que Jeff Jarvis, gourou du web, adorateur de Google et twitteur de son opération de la prostate, a publié le mois dernier tiendra certainement une place importante dans l'histoire de l'idiotie numérique.
via slate.fr
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