En principe, un taxi qui arrête son activité doit rendre sa plaque en préfecture et, s'il en est propriétaire peut revendre son véhicule..... c'est tout. Le fait de reconnaître la licence comme un fond de commerce avec une valeur marchande n'est qu'une tolérance sous la pression des syndicats de taxis qui ont un gros pouvoir de nuisance si l'on s'oppose à eux. C'est pour cela que dans certaines villes dont Paris, le nombre des taxis n'augmente pas pour le plus grand désarroi des usagers et d'autre part, c'est aussi pour cela que la liste d'attente normale en préfecture n'avance jamais puisque des ventes sauvages bloquent le système..... à moins que cela aie changé récemment.
Quand je dis qu'on vit dans une république bananière !!
Un exemple de ce que la complicité entre une administration corrompue et des entreprises peut donner en matière de dérive mafieuse.
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