Besancenot, Le Pen (Marine), Mélenchon, même combat ? Quoi qu’il en soit, un populisme de droite et de gauche, une forme de poujadisme moderne qui touche désormais les classes moyennes, et non plus seulement les plus défavorisées. Un populisme porté par d’excellents débatteurs qui sont autant de bons clients pour les médias. Qui se nourrit des vrais sujets et de problèmes complexes, mais apporte systématiquement des mauvaises réponses. Ne serait-ce qu’en oubliant que le retour en arrière, dans l’histoire, n’existe pas. Un populisme surtout qui est le signe de la faillite des politiques qui n’ont pas su se rendre audibles. En d’autres termes, aborder les sujets tabous, aborder les vraies questions, et, à défaut, eu le courage de mettre en place les bonnes réponses. Des politiques qui n’ont pas eu l’intelligence de la simplification, par peur du simplisme, le pragmatisme du “k.i.s.s.”* par rejet du “yakafauque”.
Par Henri J. Nijdam
* (Keep it simple, st… d)
20 octobre 2010
Néopopulisme
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire