14 mai 2011

Le celebrity marketing ? En pleine forme. - Pour le gogos

Kate Moss chez Longchamp, BB chez Lancel, Inès de la Fressange chez Roger Vivier et l'Oréal, Lady Gaga, invitée surprise au défilé Mugler : qui a dit que les égéries n'avaient plus la cote ?

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DSK trahit l’électorat populaire et le revendique

Gagner une élection est une affaire éminemment stratégique – surtout lorsqu’elle est présidentielle. Les partis politiques le savent bien. Pour autant, il reste exceptionnellement rare que ceux-ci ou leurs entourages affichent très cyniquement quels électeurs ils comptent séduire et ceux qu’ils préfèrent abandonner. C’est pourtant bien ce que vient de faire Terra Nova, think tank proche de Dominique Strauss-Kahn, en suggérant au PS d’attirer la « France de demain » et d’abandonner purement et simplement l’électorat populaire.

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La recherche pharmaceutique redécouvre la nature

Dame Nature inspire à nouveau les chercheurs en quête de nouvelles molécules thérapeutiques. C'est ce qui ressort du colloque « Chimie et santé : de la molécule au médicament », organisé jeudi dernier par l'université Paris-Sud. Dans de nombreux projets présentés, les produits naturels jouent un rôle significatif dans la découverte de nouveaux médicaments.. Il faut dire que l'engouement de la fin des années 1990 pour la chimie combinatoire, qui permet de synthétiser en une seule opération plusieurs centaines de molécules, est bel et bien retombé. « On pensait à l'époque pouvoir générer une bibliothèque de plusieurs milliers de molécules rapidement, mais cette vision exclusive était trop réductrice et n'a pas fonctionné, indique Fanny Roussi, chercheuse à l'Institut de chimie des substances naturelles (ICSN) du CNRS. Ce qu'il faut, c'est combiner plusieurs approches, dont l'étude des substances naturelles, qui a déjà fait ses preuves. »

Une étude publiée en 2011 dans le « Journal of Natural Products » confirme que la contribution des molécules naturelles (dites « biosourcées ») à la santé humaine est énorme : entre 1981 et 2006, près de la moitié des nouvelles molécules ont trouvé leur origine dans la nature, extraites de plantes, champignons ou micro-organismes. Dans le cas des antitumoraux, le chiffre atteindrait même 60 %. L'exemple phare est le Taxotere, dérivé du taxol, une substance présente dans l'écorce de l'if, qui fut l'un des blockbusters de Sanofi.

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Pourquoi dit-on "il n'attache pas son chien avec des saucisses"

Celui qui attacherait son chien avec des saucisses devrait renouveler la chaîne bien souvent car les chiens aiment les saucisses! Cela reviendrait cher. C'est pour se moquer d'un avare qu'on dit: « Il n'attache pas son chien avec des saucisses.»

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12 mai 2011

Info-intox sur la commission Européenne

La plupart d'entre nous font confiance à la presse nationale, aux informations télévisées et radiodiffusées pour s'informer de ce qui se passe dans l'UE. Malheureusement, parmi la masse d'informations diffusées se trouvent un grand nombre d'histoires basées sur des faits déformés, voire mensongers. Ces histoires peuvent être amusantes, certes, mais elles donnent l'image d'une Europe gouvernée par une bande d'eurocrates fous. Même s'il est malheureusement impossible de les recenser toutes, ces pages sont destinées à faire une mise au point sur certaines de ces histoires incroyables.

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Découvrez le film « The City Limits »

Les antirétroviraux empêchent la transmission du sida - Libération

Ce n’est pas seulement une confirmation, cela devient une certitude médicale: le traitement antisida réduit de façon spectaculaire le risque de contamination. En clair, une personne séropositive bien traitée n’est quasiment plus contaminante. C’est tout le paradigme de l’épidémie du VIH qui est ainsi en train de changer.

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10 mai 2011

Une centrale de 79.000 panneaux photovoltaïques avec du matériel Chinois : on comprend mieux pourquoi il n'y a plus de subvention de l'état

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Rentabilisé en 15 ans : soit jamais compte tenu de la durée de vie du panneau 15 ans justement !

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RSA : Au lieu de critiquer Wauquiez, Fillon aurait mieux fait de virer son incapable de crétine de copine de Roselyne qui a dépenser des milliards pour assurer sa retrairte de visiteurse médicale.

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Plus bête tu meurs .....

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Tilt & Shift : maîtriser la netteté et les perspectives de ses photos : Qu’est-ce que le « Tilt-Shift » ?

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Comme vous l’avez peut-être remarqué, la photographie, la vidéo et le cinéma sont depuis quelques années envahis d’étranges effets de netteté. On se souvient par exemple de la spectaculaire séquence de course d’aviron de The social network, d’un très grand nombre de séquence du film L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford avec Brad Pitt, ou de certaines publicités telles que les récentes campagnes Uniqlo ou Schweppes.

La raison en est simple : la redécouverte par une génération de créateurs du tilt-shift, ou bascule (tilt) et décentrement (shift) en français, qui fût longtemps l’apanage des chambres grand format à soufflet « à l’ancienne » avec lesquelles il fallait se couvrir la tête d’un drap opaque pour prendre des images

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La FFFn'a pas d'humour: Cédric Enjolras suspendu 6 mois pour avoir voulu enrolé Messi

Le président du club amateur FC Borne s’est amusé à demander le transfert de Lionel Messi dans son club. Il n’aurait pas dû.

La petite blague du président du club de football amateur FC Borne lui a coûté cher. Ce petit club auvergnat, évidemment sans ressource suffisante pour prétendre acquérir des stars internationales, a voulu voir l’actuel Dieu du football, Lionel Messi, rejoindre ses rangs. Après une soirée arrosée, Cedric Enjolras se rend sur internet pour effectuer le transfert : « pour transférer les joueurs dans les petits clubs, ça se fait sur internet. Pour rigoler, j'ai tapé le nom de Lionel Messi, la date de naissance et le club de provenance. Par la suite, la Ligue d'Auvergne a transmis la demande à la FFF » explique-t-il. Manque de chance, la FFF ne goûte pas à son humour, et décide de ne pas faire suivre cette demande à la fédération espagnole. Rendu coupable d’une demande « fallacieuse » et d’une « pratique totalement irresponsable », Cédric Enjolras s’est vu écoper d’une suspension de trois mois fermes, plus trois mois de sursis. « La pulga », la puce, en français, est décidemment insaisissable.

Quel bande d'abrutis finis

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09 mai 2011

Mort de Ben Laden : Tous conspirationnistes ? Non, tous citoyens ! - AgoraVox le média citoyen

Oussama Ben Laden était le fondateur d'Al Qaïda, une organisation terroriste à laquelle fut attribuée la réalisation des attentats du 11 septembre 2001. Depuis 2002, la Qaïda n'était plus opérationnelle, selon Alain Chouet, chef du service de sécurité de la DGSE de 2000 à 2002, et Ben Laden avait disparu. Durant près d'une décennie, des apparitions vidéo et audio suggérèrent, sans absolument convaincre, qu'il était encore vivant. Pendant ce temps, les Etats-Unis menèrent leur "guerre contre le terrorisme" en délaissant la traque de Ben Laden. Soutenu dans les années 1980 par les Américains dans son combat contre les Soviétiques en Afghanistan, Ben Laden continua jusqu'en 2001 à être utilisé - indirectement - par les Etats-Unis pour des opérations de déstabilisation en Asie centrale. Suite au 11-Septembre, les Américains - en quête d'un nouvel ennemi depuis la fin de la Guerre froide - gonflèrent la menace d'Al Qaïda, selon Richard Labévière, afin de justifier le plus grand redéploiement militaire depuis la Seconde Guerre mondiale dans des zones stratégiques du Moyen-Orient.

Le 2 mai 2011, Barack Obama annonce la mort d'Oussama Ben Laden à Abbottabad au Pakistan, lors d'un raid, la veille, des Neavy Seals. On ne tarde pas à nous apprendre que "l'ennemi public numéro un", pourtant inactif depuis une décennie, préparait des attentats aux Etats-Unis pour le dixième anniversaire du 11-Septembre. L'extrême confusion de la communication américaine sur le déroulement de l'assaut contre Ben Laden, comme l'annonce de l'immersion rapide de son corps dans la mer, prolongée par celle qu'aucune photo du cadavre ne serait diffusée, ont nourri un fort sentiment de défiance dans l'opinion publique, qui a pu s'exprimer massivement sur Internet. La plupart de nos médias ont immédiatement diagnostiqué une épidémie de conspirationnite aiguë. Tout occupés à jouer les médecins de l'âme, ils en ont parfois oublié de jouer les journalistes, omettant même de poser sur Ben Laden une question essentielle...

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Lilian Thuram, l'escroquerie antiraciste par excellence - (20000 € la conférence, l'antiracisme est hors de prix de nos jours)

Alors que la FFF est dans la tourmente, beaucoup d’antiracistes professionnels n’ont pas manqué de se faire entendre. Parmi eux, Lilian Thuram, membre du haut conseil à l’intégration, qui n’a pas hésité à se scandaliser et à montrer du doigt son ancien coéquipier, Laurent Blanc. Etonné par ces attaques précipitées, Christophe Dugarry, lui aussi champion du monde 1998, est vite monté au créneau. L’occasion de rappeler toute l’escroquerie de l’engagement antiraciste, dont Thuram en est l’exemple le plus criant.

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Le bruit, une nouvelle source d'énergie ?

Après les engouements autour de l'énergie solaire, les scientifiques planchent désormais sur une méthode qui consiste à parler pour recharger son smartphone.

Parler tout en rechargeant son téléphone ? Si de prime abord l'idée semble irréaliste, des ingénieurs ont cependant mis au point un dispositif qui porte déjà ses fruits. La source sonore est ainsi transformée en électricité tout en réduisant les bruits de fond pour l'interlocuteur.

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30 millions d'actifs en 2025. Qui veut nous faire croire qu'on a besoin d'immigrés en plus ?

En 2010, la population active était formée de 28,4 millions de personnes. Selon l'Insee, ces actifs devraient être 30 millions en 2025, soit une hausse de 124 000 personnes par an. Le ratio entre les plus de 60 ans et les actifs baisserait à 1,8 en 2025. On est donc très loin de la pénurie de main-d'oeuvre.

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Titrisation

La titrisation (Securitisation en anglais) est une technique financière qui consiste classiquement à transférer à des investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des prêts en cours), en transformant ces créances, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur le marché des capitaux.

Une telle titrisation s'opère en regroupant un portefeuille (c'est-à-dire un lot) de créances de nature similaire (prêts immobiliers, prêts à la consommation, factures mono-thématique, ...) que l'on cède alors à une structure ad hoc (société, fonds ou trust) qui en finance le prix d'achat en plaçant des titres auprès d'investisseurs. Les titres (obligations, billets de trésorerie, ...) représentent chacun une fraction du portefeuille de créances titrisées et donnent le droit aux investisseurs de recevoir les paiements des créances (par exemple quand les factures sont payées, ou quand les prêts immobiliers versent des mensualités) sous forme d'intérêts et de remboursement de principal.

La titrisation peut également viser à ne transférer aux investisseurs que le risque financier lié aux actifs concernés, auquel cas les actifs ne sont pas vendus, mais le risque ou partie du risque transféré grâce à une titrisation synthétique.

Née aux États-Unis dans les années 1960, la titrisation a connu une expansion importante également en Europe à partir de 2000, tandis que les produits et les structures devenaient de plus en plus complexes. En France, la titrisation a été introduite par la loi du 23 décembre 1988. Sous l'impulsion de Pierre Bérégovoy, l'idée était de faciliter le développement du crédit immobilier en permettant aux banques de sortir les créances de leurs bilans et d'améliorer leur ratio "Cooke". La crise des subprimes survenue en 2007 a provoqué un ralentissement du marché, tandis que les autorités de marché considèrent la question de savoir si la titrisation devrait être mieux encadrée.

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Non, les agences de notation ne sont pas coupables !

Jean-Marc VITTORI
Jean-Marc VITTORI
Editorialiste

Mesdames et Messieurs les jurés,

Monsieur le juge,

Je prends aujourd'hui la parole pour défendre le coupable idéal : l'agence de notation. Je lis dans vos yeux que vous avez déjà forgé votre intime conviction : l'accusé mérite la peine capitale. Il aurait failli à sa mission essentielle de vigie des marchés, causant d'effroyables catastrophes économiques et financières. Il n'aurait rien vu venir en 2008, quand des montagnes de dettes privées ont fait imploser Wall Street. A l'inverse, il aurait provoqué la crise des dettes publiques européennes, en Grèce et en Irlande l'an dernier, au Portugal cette année, en sonnant l'alarme parfois à mauvais escient, souvent au mauvais moment et toujours en parfaite inconscience des conséquences de ses actes.

Et pourtant... s'il était innocent ? Si le vrai coupable était ailleurs ? C'est ce doute qui m'amène à prendre sa défense. Que les choses soient claires, Mesdames et Messieurs : je n'aime pas ce personnage - on aime rarement les surveillants hautains. Mais je le trouve original. J'ai enquêté dessus il y a vingt ans. J'ai dénoncé son rôle dans le « subprime » au printemps 2008, avant la faillite de Lehman Brothers (il touchait de l'argent pour attribuer des notes à des produits financiers titrisés... et pour expliquer à leurs fabricants comment avoir de bonnes notes). Sa cause me paraît pourtant simple à défendre.

A vrai dire, les agences de notation font plutôt correctement leur travail, en particulier sur la dette des Etats, où elles sont aujourd'hui mises en cause. Le FMI relève que « tous les Etats qui ont fait défaut depuis 1975 avaient des notations en catégorie spéculative ["non investment-grade"] au moins un an avant leur défaut ». Annukka Ristiniemi, une jeune chercheuse de la Paris School of Economics, montre que « les agences de notation semblent réagir en moyenne quelques mois avant un cas de détresse ». Une réaction tardive, car des indicateurs macroéconomiques commencent à signaler un déséquilibre au moins deux ans avant le problème. Mais, « quand elles réagissent enfin, elles exercent un effet massif sur le marché ». Les investisseurs vendent alors des tombereaux d'obligations, ce qui accroît encore les difficultés de l'emprunteur. Un simple changement de notation, ou parfois l'annonce de sa mise sous surveillance dans la perspective d'un éventuel changement, peut précipiter les débiteurs du haut d'une falaise de la défiance.

L'exemple de la Grèce illustre parfaitement ce risque. En octobre 2009, le nouveau gouvernement indique que le déficit public sera beaucoup plus élevé que prévu. Les investisseurs exigent alors immédiatement des taux d'intérêt plus élevés. C'est seulement en décembre que les trois grandes agences (Standard & Poors, Moody's et Fitch) abaissent leur notation. Leur décision enclenche une nouvelle et forte hausse des taux d'intérêt, qui réduit la solvabilité de l'Etat grec. Cette réduction entraîne alors des diminutions supplémentaires de note. Un cercle vicieux s'est formé.

Mais les agences sont-elles responsables de ce cercle ? Si elles n'abaissaient pas leur note dans un tel cas, elles ne feraient pas leur travail. Tout au plus peut-on leur reprocher de traîner à faire leur travail. Trois mois pour dégrader la Grèce, était-ce nécessaire ?

Le vrai problème, Mesdames et Messieurs, est ailleurs : la notation est prise trop au sérieux. Les investisseurs s'appuient exclusivement sur elle pour prendre des décisions, formant ainsi la fameuse falaise. Ils sont drogués aux AAA et autres BB+. Le FMI le dit clairement : il faut « réduire la dépendance à la notation ». Le Conseil de stabilité financière, qui regroupe banquiers centraux, ministres des Finances et dirigeants d'organisations internationales, a publié en octobre dernier une note de sept pages sur la question. Il intime régulateurs, banquiers et assureurs de faire le ménage dans les innombrables références aux notations insérées dans leurs rouages. Aux Etats-Unis, la loi Dodd-Frank votée l'an dernier impose la suppression de ces références aux agences fédérales..., qui ne savent pas comment elles vont s'y prendre. En Europe, les gouvernants n'ont pour l'instant pas suivi ces recommandations du Conseil de stabilité. Ils se sont contentés d'imposer aux agences une effroyable paperasserie de certification, qui, de l'avis général, ne servira à rien.

Du côté des investisseurs, c'est encore pire. Car, pour eux, la notation est un cache-misère. Elle dissimule la faiblesse, voire l'absence de mécanismes d'évaluation du risque, qui est pourtant au coeur de leur métier. Normalement, les institutions financières devraient dépenser beaucoup d'argent pour monter des équipes compétentes, afin d'« avoir les capacités pour mener leur propre évaluation de la qualité de crédit », comme le demande le Conseil de stabilité financière. Sans prendre beaucoup de risques, on peut affirmer qu'elles vont traîner les pieds. On ne signale, par exemple, aucune manoeuvre de débauchage dans les équipes des agences de notation...

Au-delà, Mesdames et Messieurs les jurés, on le sent bien, c'est tout autre chose qui est en procès. C'est l'idée d'un immense marché financier ouvert sur toute la planète, où n'importe qui peut acheter n'importe quoi en parfaite connaissance de cause, sur la base d'une information complète et gratuite. Cette fluidité parfaite, rêvée par les économistes dans leurs modèles, n'existe pas. Une vraie évaluation du risque passe par un processus coûteux d'évaluation, bien au-delà d'une simple note. Le grand marché mondial pourrait bien être au-dessus de nos moyens. Peut-être devrons-nous revenir à des politiques de placement plus locales, mieux éclairées. Et ce n'est pas la faute aux agences de notation.

Jean-Marc Vittori est éditorialiste aux « Echos »


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Carole Rousseau dans un jury de seconde zone nommé par le gouvernement pour choisir les hotels ayant droits d'être un Palace

Hier matin sur RTL, dans sa chronique économique de 7h20, le journaliste Christian Ménanteau s'est attaqué aux people de "seconde zone" qui faisaient partie du jury chargé de désigner les Palace en France.

Un jury dans lequel on trouve  la journaliste de «Point de vue» Adélaïde de Clermont-Tonnerre, l’académicien Dominique Fernandez, l'écrivain Gonzague Saint-Bris ou encore... Carole Rousseau de TF1 !

Quatre hôtels ont été retenus à Paris - Le Bristol, le Meurice, le Park Hyatt Vendôme et le Plaza-Athénée - et quatre en province dont deux à Courchevel - les Airelles et Cheval Blanc -, un à Biarritz avec l'Hôtel du Palais et un à Saint-Jean-Cap-Ferrat avec le Grand-hôtel du Cap-Ferrat.


Remarquant que ni le George V ni le Ritz n’ont été retenus dans cette catégorie,  Christian Ménateau a expliqué que "tout cela était le résultat d'un mauvais choix dans ce jury dans lequel ne figuraient qu'un seul professionnel et des people de seconde zone".

Le journaliste n'est pas le seul a exprimé son malaise depuis hier. François Delahaye, patron du groupe Dorchester dont deux des hôtels (Meurice et Plaza-Athénée) ont reçu la précieuse distinction, a parlé à l'AFP de "victoire amère". "Le jury s'est décrédibilisé en ne sélectionnant pas le Ritz et surtout le George V", a-t-il expliqué.

Gabriel Matar, directeur France du cabinet spécialisé Jones Lang LaSalle, juge, lui, que "les jurés ont sonné le deuil du titre".

Les jurés ont été nommés pour trois ans par le gouvernement.

Et une commission de bons à rien, payés par nos impôts, de plus !

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Théorie du cygne noir - Wikipédia

La Théorie du Cygne noir, développée par le philosophe Nassim Nicholas Taleb, est une théorie selon laquelle un événement imprévisible a une faible probabilité de se dérouler, mais s'il se réalise, les conséquences ont une portée considérable et exceptionnelle. Taleb a dans un premier temps appliqué cette théorie pour le monde de la finance.

L'expression "cygne noir" existe au moins depuis l'époque de l'écrivain latin Juvénal. On pensait alors qu'il n'existait pas de cygne noir. Or l'existence de cygnes noirs a pu être démontrée empiriquement au XVIIIe siècle. L'expression désigne un événement hautement improbable.

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Écologie : nouvelle dictature religieuse | Atlantico

L'écologie, personne n’est contre ou plutôt tout le monde est pour. Pour l'écrivain Benoît Rayski, il s'agirait même du dernier avatar de la bien-pensance consensuelle...

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Affaire Ligonnès sa ville de naissance a reçu une demande d'extrait d'état civil | Atlantico

L’affaire Ligonnès s’apprête à battre un triste record : celui de sa présence dans les médias, supérieur au temps et à l’espace accordé au(x) drame(s) japonais. Ou quand le malheur de cinq personnes, voisines de tous les Français, pèse plus que des dizaines de milliers de victimes, lointaines.

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Egon Schiele, «Maisons avec linge de couleur, banlieue II», œuvre réalisée en 1914

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En vente 22-23 millions de £

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