29 octobre 2011

Mort de l'acteur et réalisateur Robert Lamoureux - 20minutes.fr

L'acteur et chansonnier Robert Lamoureux, auteur de sketches, de films et de pièces de théâtre comiques, est décédé à l'âge de 91 ans, ont annoncé ce samedi les médias français.

Auteur à succès de la pièce «Papa, maman, la bonne et moi» (1954), réalisateur au cinéma de la trilogie «Mais où est donc passée la septième compagnie» (1973), «On a retrouvé la septième compagnie» (1975) et «La septième compagnie au clair de Lune» (1977), il incarnait une certaine idée de l'humour à la française. Robert Lamoureux a aussi interprété Arsène Lupin au cinéma dans un film de Jacques Becker.

Posted via email from hypha's posterous

Quand le porno tue la libido de toute une génération | Atlantico

Selon une étude italienne, les gros consommateurs de pornographie sur Internet rechercheraient des images de plus en plus extrêmes pour être stimulés. Résultat : dopamine en berne et débandade.

Posted via email from hypha's posterous

Françoise Laborde, malade imaginaire du CSA ? | Atlantico

Le président du CSA s'irriterait de l'absence pour raison médicale de la journaliste, qui garde une vie sociale active.

Posted via email from hypha's posterous

Françoise laborde a des dossiers gênants sur jean-michel apathie (video) - news télé

Elle n'est pas contente, Françoise Laborde. Mise en cause par Jean-Michel Apathie, qui a affirmé qu'elle n'a pas écrit ses livres seule, elle répond à son détracteur en brandissant l'oriflamme de l'honneur bafoué, tout en tentant de salir un peu celui du journaliste vedette du Grand Journal.

Posted via email from hypha's posterous

Françoise Laborde fait scandale au CSA - Information - Le Figaro TV

Les huit Sages ne comprennent pas pourquoi leur consœur a quitté précipitamment une réunion des neuf Sages pour répondre, en direct, aux questions de Jean-Marc Morandini

Posted via email from hypha's posterous

Ventes de mobiles : Nokia et Samsung très loin devant

Gros écart entre les deux premiers et les autres
L'autre élément intéressant est que la distance entre les deux premiers fabricants mondiaux de mobiles  et le reste du marché s'est singulièrement creusée. A eux deux, Nokia et Samsung représentent quasiment la moitié des ventes mondiales de mobiles, avec des volumes respectifs de 106 et 88 millions de terminaux écoulés.

IDC ventes mobile Q3 2011

Le numéro trois mondial, LG Electronics, se trouve maintenant loin derrière, avec 21 millions de mobiles écoulés, et sous la menace directe du fabricant chinois ZTE, bien décidé à entrer dans le Top 3 mondial à court terme.

Apple, avec son volume de 17 millions d' iPhone, rétrograde à la cinquième place mondiale, mais pourrait reprendre une place maintenant que l' iPhone 4S est lancé et connaît un démarrage record de ses ventes.

Si les journalistes n'étaient pas si corrompus on aurait eu cette information et non ces interminables promotions pour Apple

Posted via email from hypha's posterous

26 octobre 2011

Plan social chez PSA: «Soit on bloque les frontières, soit on accepte d’acheter des bagnoles plus chères» - 20minutes.fr

Plan social chez PSA: «Soit on bloque les frontières, soit on accepte d’acheter des bagnoles plus chères»

Posted via email from hypha's posterous

Les goodwills : l'autre bombe financière | Atlantico

On parle de goodwill pour une entreprise qui fait de la croissance externe, qui acquiert d’autres sociétés. Ce terme anglais désigne une survaleur (un écart d’acquisition) : il mesure la différence entre le prix d’acquisition et la « vraie valeur supposée » de la société acquise. Ce « plus » intègre les synergies futures, son capital humain, sa position concurrentielle et d’autres éléments immatériels, et il est inscrit à l’actif du bilan. J’achète cette entreprise 100, mais elle vaut 150, et j’en suis tellement certain que j’inscris 150 à l’actif de mon bilan, dont 50 de goodwill donc.

Le fait que la plupart des mégafusions se terminent piteusement (Mercedes/Chrysler, BMW/Rover, AOL/Time Warner, Alcatel/Lucent, etc.) ne change rien à l’affaire, une acquisition se traduit toujours par un goodwill ! C’est de la « pensée magique ».

Dans le passé, les goodwills pouvaient concerner de l’immobilier demeuré dans le bilan de la société à sa valeur d’acquisition, la survaleur était alors parfaitement justifiée. Mais désormais, avec les nouvelles normes comptables de Fair Value (comptabilisation à la valeur du marché) ce genre de bonne surprise n’a plus cours. Ne restent alors que des éléments immatériels que le marché n’aurait pas correctement évalués (marque, part de marché, synergies).

Une remarque : si les marchés étaient efficients, les goodwills n’existeraient pas (la prise en compte de l’ensemble des informations disponibles par les intervenants empêcherait toute sous-évaluation des actifs), mais ceux qui croient à l’efficience des marchés sont les mêmes que ceux qui croient aux goodwills ! Le goodwill c’est « vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » et sa disparition (la société achetée est simplement inscrite à l’actif à son coût d’acquisition) constituerait une saine décision.

Evidemment en période de croissance soutenue et régulière, ces survaleurs logées dans les bilans ne posent pas de problèmes. Il en va tout autrement lors d’une récession où les acquisitions – souvent surpayées et en partie avec de l’endettement – doivent faire l’objet de révisions douloureuses.

La dépréciation des goodwills n’a pas eu lieu depuis la crise de 2008… On peut mesurer leur ampleur, selon une étude PwC, les goodwills représentent, pour les entreprises du CAC 40, 43 % de la valeur totale de leur bilan ! Presque la moitié du bilan des entreprises du CAC 40 (dont des banques) est bidon, artificiel, construit sur une croyance autoréalisatrice ! Et un jour ou l’autre il faudra revenir sur terre, la récession arrive et cela deviendra inévitable. Voici – encore ! – une nouvelle bombe pour alimenter la crise financière.

L’ingénierie financière et comptable complètement déconnectée de la réalité est en train de tuer le capitalisme de l’intérieur.

Posted via email from hypha's posterous

24 octobre 2011

La crise financière actuelle a l'étrange parfum des années trente - LeMonde.fr

Cette nouvelle vague de populisme est d'autant plus dangereuse qu'elle prend ses racines dans une triple crise.

Une crise industrielle d'abord, qui sonne le glas de la domination sans partage de l'Occident. Au tournant des années 1990, et malgré la résistance des peuples, la décision a été prise de délocaliser une part grandissante de la production industrielle vers la Chine et les pays émergents. Ivres de notre sentiment de puissance, nous pensions nous assurer ainsi des profits maximum et les prix les plus bas. Aux pays ateliers, croyait-on, les productions de base, à nous les technologies innovantes. Comme toutes les entreprises monstrueuses l'objectif a été atteint au-delà de toutes espérances : en vingt ans l'Occident a perdu sa primauté industrielle. Les capitaux ont afflué vers la Chine, l'Inde ou le Brésil. Ces pays, engagés dans une course sans merci à l'innovation, se posent désormais en maîtres de l'économie mondiale. L'Occident est retranché sur ses ultimes bastions (les technologies de l'information de la côte ouest américaine et l'industrie mécanique allemande), sous morphine de la dette et des déficits mais surtout sans capacité de sursaut moral, car gangréné par la montée d'inégalités au terrible relent d'Ancien Régime. Comme dans les années 1930, nous n'avons pas vu monter les périls, nous avons sous-estimé la volonté de puissance de nos concurrents et nous arrivons épuisés, arrogants et mal préparés pour la bataille essentielle de ce début du XXIe siècle, celle de la prééminence industrielle.

Dans un Occident qui perd pied, l'Europe y ajoute une deuxième crise liée à l'ambigüité des principes sur lesquels elle s'est construite. Nous n'avons jamais tranché entre la logique fédérale des Etats-Unis d'Europe et celle d'une zone de coopération entre nations souveraines. Sans avoir clarifié ce dilemme, la création de l'euro a été dictée par une volonté politique : ancrer l'Allemagne dans l'Europe après la réunification. On a cru qu'il était possible de concilier fédéralisme monétaire et maintien d'une souveraineté budgétaire, à peine tempérée par des critères de convergence, presque immédiatement non respectés. La phrase d'Helmut Kohl, au moment de la création de l'Euro, illustre cette logique : "la décision est prise. C'est une question de guerre et de paix. Et c'est à vous financiers et économistes de la faire fonctionner". Rétrospectivement, on mesure les raisons de la réticence des Français à ratifier le Traité de Maastricht. La politique monétaire d'inspiration allemande, conduite par la BCE (euro fort ou plutôt cher et lutte contre l'inflation) a laminé le modèle industriel des pays du Sud (Italie, Espagne) fondé sur des dévaluations compétitives.

L'Allemagne, qui a imposé ses règles, se trouve confrontée au piège de l'euro : puisque les pays affaiblis par sa politique monétaire ne peuvent plus honorer leurs dettes, c'est d'abord à elle de les garantir, ce qui révolte son peuple qui depuis dix ans a accompli un immense effort de redressement de sa compétitivité. De sommets en sommets, on gagne du temps mais on ne décide rien, faute d'intérêts convergents et de leadership. Mais le compte à rebours de l'explosion de l'euro est lancé, car la BCE ne pourra pas continuer à jouer les pompiers et cela d'autant que se profile en 2012 pour l'Italie un mur de plus de 200 mds d'euros de dettes à refinancer.

Comme dans une tragédie grecque, les effets de la troisième crise, celle de 2008 ont créé une situation de non retour. Les Etats se sont précipités dans des plans de sauvetage et de relance économique, qui ont porté les déficits et la dette à des niveaux probablement jamais atteints en temps de paix. Vue des peuples, la situation est intolérable : aucune leçon n'a été tirée de la crise pas même le retour à la séparation entre les banques de dépôts et les banques d'investissement (une proposition présentée comme révolutionnaire par Arnaud Montebourg mais qui n'est jamais que le retour au Glass Steagall Act américain des années 1930 ou à la loi française de 1945 abrogée…en 1984). En revanche, c'est aux peuples que la note est présentée à travers des plans d'austérité et de hausse des impôts d'une grande violence.

Les attaques des marchés (perte du triple A américain, baisse des bourses, défiance vis à vis de la dette des pays du sud) ne sont pas spéculatives mais politiques. Elles sanctionnent l'absence de stratégie crédible et coordonnée de sortie de crise. Entrant étonnement en résonnance avec le mouvement des indignés ou celui d'"Occupy Wall Street", tout cela annonce une sanction électorale à l'échelle mondiale alors que se profilent les élections en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Espagne et en Italie.

La campagne présidentielle qui s'ouvre ne doit conduire à flatter ce populisme qui a désormais trouvé avec l'anti-mondialisation son corpus idéologique, au risque de créer pour demain toutes les conditions d'un embrasement social. Aucune expérience d'économie fermée ne s'est traduite dans l'histoire par une société prospère. Qui peut croire que nos voisins européens nous suivront dans cette voie alors que l'Allemagne et la Scandinavie ont prouvé que l'on peut se remettre au premier plan d'une économie mondialisée en s'en donnant les moyens. Peut-on raisonnablement imaginer une solution purement française alors que des millions de salariés travaillent pour l'exportation et que nous n'avons aucun ressort puissant de croissance (ni rattrapage économique en perspective, ni boom démographique, ni percée technologique). Dans le même temps, les vainqueurs d'aujourd'hui comme la Chine rencontrent des tensions salariales et sont déjà confrontés à de lourds problèmes liés au vieillissement et au poids de la dette intérieure.

Il n'est pas question non plus de sombrer dans l'angélisme de l'économie de marché qui, par essence, profiterait à tous. Comme en d'autres temps, il faut faire le choix de se rassembler, de s'armer face aux nouveaux défis du monde et de remettre en cause des tabous de droite comme de gauche.

Les dirigeants qui auront réussi à se sauver ou ceux qui prendront les commandes seront, en effet, confrontés à des difficultés jamais vues depuis la seconde guerre mondiale. En France, nous ne redresserons pas nos comptes publics sans une réforme fiscale qui permettra une plus grande justice mais, ne nous mentons pas, se traduira par un alourdissement des prélèvements sur les Français.

Nous ne pourrons pas non plus fermer les yeux sur l'impasse des 35 heures, qui nous conduit à financer de manière permanente par du déficit et de la dette (au moins 15 milliards d'euros par an), le coût pour les entreprises d'une réforme vieille de près de 15 ans et qui a raté son objectif de création d'emplois. Nous ne résorberons le déficit de l'assurance-maladie et ne répondrons aux problèmes de la dépendance qu'en travaillant plus pour cotiser plus.

De même, nous ne remettrons d'aplomb notre appareil productif qu'en restaurant le rôle de l'Etat comme acteur du développement industriel, par l'instauration d'une TVA sociale, qui est une forme offensive de rééquilibrage des conditions du commerce mondial, ou en nous posant la question du recentrage de EDF sur une activité strictement nationale, afin de garantir à nos entreprises le prix de l'énergie le plus bas, voire et si cela est nécessaire pour atteindre cet objectif en décidant de sa renationalisation à 100%.

Dans le domaine européen, des révisions radicales s'imposent aussi. Nous ne sortirons pas de la crise de l'Euro par des mesures techniques mais par le choix de l'achèvement de la construction européenne. Il ne peut pas exister de monnaie unique sans convergence budgétaire et, à terme, fiscale, c'est-à-dire sans fédéralisme économique. Alors, il sera possible de mettre en place les instruments de sortie de crise que sont les Eurobonds. L'Europe doit aussi se donner les moyens du défi industriel et notamment faire de sa politique monétaire et de son droit de la concurrence des instruments de croissance et de conquête de marchés.

Plutôt que de sombrer dans cette forme masquée de défaitisme que symbolise le thème du protectionnisme, remettons dans notre vocabulaire politique ces mots forgés par le Conseil National de la Résistance à la Libération : Union nationale, ambition industrielle, effort.

Posted via email from hypha's posterous

23 octobre 2011

Sempé

Hollande, entre deux pantoufles - Libération

François Hollande le 26 mai 1981. (MICHEL CLEMENT/AFP)

Posted via email from hypha's posterous

Crise de la dette: «Aux yeux du marché la France a déjà perdu son précieux triple A» - 20minutes.fr

L'écart entre le rendement des obligations d'Etat françaises à 10 ans (OAT) et celui des titres d'Etat allemands de même maturité (Bund) a atteint vendredi un record, les investisseurs anticipant de plus en plus un abaissement de la note de la France par les agences de notation.

Une première

Pour la première fois, l'écart entre les taux des deux pays -- qui bénéficient l'un et l'autre de la note maximale «AAA» -- a atteint 119 points de base (1,19 point de pourcentage ) vers 11H00.

Posted via email from hypha's posterous