25 mars 2011

Une licence de taxi à vendre, c'est combien?

En principe, un taxi qui arrête son activité doit rendre sa plaque en préfecture et, s'il en est propriétaire peut revendre son véhicule..... c'est tout. Le fait de reconnaître la licence comme un fond de commerce avec une valeur marchande n'est qu'une tolérance sous la pression des syndicats de taxis qui ont un gros pouvoir de nuisance si l'on s'oppose à eux. C'est pour cela que dans certaines villes dont Paris, le nombre des taxis n'augmente pas pour le plus grand désarroi des usagers et d'autre part, c'est aussi pour cela que la liste d'attente normale en préfecture n'avance jamais puisque des ventes sauvages bloquent le système..... à moins que cela aie changé récemment.
Quand je dis qu'on vit dans une république bananière !!

Un exemple de ce que la complicité entre une administration corrompue et des entreprises peut donner en matière de dérive mafieuse.

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24 mars 2011

Les casseroles de DSK dont la presse ne parle pas : la Libye

S’il y en a bien un qui semble être en odeur de sainteté dans les rédactions parisiennes, c’est bien Dominique Strauss Kahn. Alors que les suspicions d’affaires pas très très nettes en relation avec le Directeur général du FMI s’amoncellent, aucune ne semble avoir titillé la moustache du justicier Edwy Plenel de chez Mediapart.

Quand la pop tient en quatre accords | Next

Quel est le point commun entre Beautiful de James Blunt, Where Is The Love des Black Eyed Peas, Forever Young d'Alphaville, Can You Feel The Love Tonight d'Elton John, Paparazzi de Lady Gaga, With or Without You de U2, Let it Be des Beatles, If I Were a Boy de Beyonce, One of Us de Joan Osbourne, Love The Way You Lie d'Eminem et Rihanna, It's My Life de Bon Jovi et Kids de MGMT? Ces morceaux, et beaucoup d'autres encore, utilisent les quatre mêmes accords.

C'est la démonstration du groupe australien Axis of Awesome qui s'est produit le 18 mars dernier sur la BBC, lors du Red Nose Day, une journée caritative.

Les fonds recueillis à cette occasion seront reversées à des associations pour l'enfance en Afrique ou contre la solitude des personnes âgées en Angleterre. Rien par contre pour les artistes en mal d'inspiration...

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Expired drugs: Are they still effective? - By Brian Palmer - Slate Magazine

I mean, they don't smell rotten.

Pills. Click image to expand.Georgia executed a murderer on Tuesday with drugs that may have been past their expiration date. The state purchased its supply of sodium thiopental—designed to anesthetize a patient during the lethal-injection procedure—from an obscure, and unlicensed, British company. As if that weren't sufficiently dodgy, the drug, which has a shelf life of just one year when made in the United States, was manufactured in 2006. Are drugs effective past their expiration dates?

Usually, yes. At the behest of the Pentagon, the Food and Drug Administration launched the Shelf Life Extension Program in 1985 to determine whether the military's massive stockpile of expired drugs had become ineffective. The study, first made public by the Wall Street Journal in 2000, showed that 90 percent of drugs maintained stability—that is, their chemical constituents did not degrade or change substantially—well past their expiration dates. Some drugs were good for a decade after expiring.

The Journal's report, in which one expert claimed that conservative dates were an industry trick to increase turnover, has spurred significant Internet skepticism over expiration dates. But before you go tossing back vintage Tylenol, consider a couple of caveats. There was surprising variability in the FDA study. Sometimes different batches of the same drug lost efficacy at very different times for unknown reasons. In addition, the Pentagon stores its multimillion-dollar stockpile of medications under controlled temperature, humidity, and light conditions. Your medicine cabinet doesn't offer an ideal storage environment. And some classes of drugs, like biologics and insulin, are especially likely to spoil. Accordingly, the FDA continues to recommend that you throw away your expired medications.

Unlike food expiration dates, drug expiration dates are regulated by the government. The FDA requires pharmaceutical makers to declare the shelf life of their products after a stability-testing process. Drug makers typically store three batches of the product at 77 degrees Fahrenheit and 60 percent relative humidity, and three other batches at 104 degrees and 75 percent humidity to simulate shipping conditions. In most cases, drugs that survive the process get initial expiration dates between 12 and 24 months from the date of manufacture, depending on how much chemical degradation occurred during testing. Put simply, the expiration date means that the manufacturer has proven that the product will still work at that time. It absolutely does not mean that it will necessarily stop working a day, a month, a year, or five years after that date.

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Once the product hits the market, drug makers are permitted to conduct additional testing to prove longer-term storage stability. But this is entirely optional, and there's little incentive for manufacturers to extend the date. A few have taken advantage of this opportunity, with the longest expiration date on the market currently at 60 months. But many others just stick with the initial label.

Manufacturers claim that there's no evidence we could save money by conducting long-term stability tests on drugs, but that's not entirely true. The Pentagon spent $3.9 million on its shelf-life tests and saved $263.4 million in drug costs over a five-year period.

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22 mars 2011

Automobile : Quelle source d'énergie   pour la voiture électrique ? 

Un gouvernement fantôme engage la Belgique dans une guerre réelle - Coulisses de Bruxelles, UE

La Belgique vient une nouvelle fois d’administrer la preuve qu’un gouvernement ne sert manifestement pas à grand-chose. Alors que l’équipe dirigée par Yves Leterme est démissionnaire depuis le 26 avril 2010 et qu’aucune majorité de gouvernements ne se profile à l’horizon — en dépit d’élections législatives qui ont eu lieu le 13 juin 2010 —, le Royaume est entré en guerre contre la Libye sans hésitation aucune en dépêchant sur le théâtre d’opérations six F-16. La chambre des députés a soutenu la décision de ce gouvernement fantôme, lundi, par 125 voix et une abstention.

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21 mars 2011

Italy Warned Libya of Bombing, Saved Qaddafi's Life (Update3) - Bloomberg

Former Italian Prime Minister Bettino Craxi warned Libyan leader Muammar Qaddafi that the U.S. would bomb his country in 1986, saving the colonel's life, Libyan Foreign Minister Abdel Rahman Shalgam said today.

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Italy Warned Libya of Bombing, Saved Qaddafi's Life (Update3) - Bloomberg

Former Italian Prime Minister Bettino Craxi warned Libyan leader Muammar Qaddafi that the U.S. would bomb his country in 1986, saving the colonel's life, Libyan Foreign Minister Abdel Rahman Shalgam said today.

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Japon : comment aider les animaux après le séisme et le tsunami ? (vidéo) - Société - Wamiz

Comment Hulot, Greenpeace et WWF ont « tué l'écologie » | Rue89

Dans « Qui a tué l'écologie ? », Fabrice Nicolino raconte la descente aux enfers des associations embarquées dans « l'entourloupe » du Grenelle de l'environnement – avec humour pour rendre la pilule moins amère. Y compris pour lui, l'écologiste de la première heure révulsé par les écolos officiels.

Son livre, plein de révélations détonnantes, se lit comme un polar. Suspense : que peut-on encore apprendre du bilan du Grenelle de l'environnement, maintes fois tiré ? « Qui a tué l'écologie ? », publié le 16 mars au éditions Les Liens qui libèrent, conte l'histoire d'un banquet républicain et mondain, qui est en fait une grande farce.

Un constat pour commencer :

« Quarante ans après la naissance de ces associations, la destruction de la planète n'a pas reculé, au contraire. »

En s'engageant dans la co-gestion avec l'Etat, les ONG sont complices de ce – piteux – bilan.

Les zooms sur les principaux acteurs sont autant de flèches cruelles. Dans sa ligne de mire, les ministres Borloo, Jouanno, Kosciusko-Morizet, et les quatre ONG que sont Greenpeace, WWF, la Fondation Nicolas Hulot et France nature environnement devenues des « appendices de l'appareil d'Etat et de cette vaste machine industrielle qui détruit le monde à sa racine ».

L'auteur de « Bidoche » se dit « triste – qu'on le croie ou non – d'avoir à moquer des gens pour qui, au fond, [il a] de l'estime ». (Voir la vidéo)

Le journaliste indépendant, très mobilisé contre les gaz de schiste, regrette aussi l'absence notable de ces grandes associations dans cette lutte qui a pris son essor de façon spontanée, comme dans le Larzac.

« Ce Grenelle a été une entourloupe »

Quand on lui demande si le Grenelle de l'environnement, sur le principe, n'a pas des raisons d'être défendu, Fabrice Nicolino est radical :

« Le Grenelle est absurde parce que franchouillard. D'emblée, la bande des quatre a accepté que l'Etat et les intérêts industriels qui lui sont liés dictent le cadre même du Grenelle.

Les questions cruciales ont été effacées de l'ordre du jour : le nucléaire (logique, Sarkozy était alors en train de vendre des centrales au Libyen Kadhafi), les biocarburants, l'eau, les OGM, les nanotechnologies, les téléphones portables… Tout ça est de la frime, du faux-semblant, vise à enfumer l'opinion publique. Ce Grenelle a été une entourloupe. »

Quant au CV des ministres, le journaliste nous rappelle que NKM est surtout mue par son ambition de devenir un jour chef de l'Etat, ce qui lui a valu de faire censurer le livre de son mari, jugé « subversif ».

« Nul besoin d'être cruel après tant d'autoflagellation », écrit-il à propos de Chantal Jouanno, qui en avril 2007, au QG de Nicolas Sarkozy candidat à l'élection présidentielle, présentait son champ d'action.

Comme l'explique ici la future secrétaire d'Etat à l'Ecologie, son truc, c'est « tous les publics qui comptent et qui ont des préoccupations spécifiques [chasseurs, boulangers, pharmaciens, etc. ndlr] ». (Voir la vidéo. « Défense de rire », prévient le journaliste)

WWF a flirté avec l'apartheid

On apprend dans ce livre que l'association World Wildlife Fund (Fonds mondial pour la nature, WWF), née en 1961, a été « créée par des notables britanniques dont la motivation était de pouvoir continuer à chasser le grand gibier sauvage en Afrique ». Et surtout que son mode de financement a été monté par Anton Rupert, un des hommes clés du système de l'apartheid en Afrique du Sud. Découvrir cela fut le plus grand choc de cette enquête. (voir la vidéo)

Ce péché originel pourrait être éventuellement oublié. Mais, aujourd'hui encore :

« Le WWF est si proche des intérêts des transnationales qu'il a accepté de siéger dans des tables rondes avec les industries les pires de la planète pour créer des labels industriels soutenables, sur le soja, les biocarburants ou encore l'huile de palme. »

Greenpeace « à la mode Staline »

Greenpeace, l'ONG du Rainbow Warrior est devenue « une petite entreprise capitaliste comme une autre ». Son directeur général, Pascal Husting, se vante officiellement dans un article du Nouvel Economiste d'avoir mis à la porte la moitié des salariés et qu'aucun n'ait gagné son procès aux prud'hommes.

Chez Greenpeace, les campagnes sont décidées au niveau international, au nom d'une sorte de « centralisme démocratique à la mode Staline ».

Nicolino souligne en passant que l'association a servi de tremplin aux ambitieux qui visaient un siège de député européen. Comme Robert Lion, ancien directeur de la Caisse des dépôts et consignations, devenu président de Greenpeace, avant de se faire élire sur les listes d'Europe Ecologie aux élections régionales de 2009.

Nicolas Hulot ? « Un boy-scout qui nous fait perdre du temps »

Après avoir vanté la « sincérité » de cet homme qu'il a longtemps défendu dans ces milieux de gauche ou écolo, alors qu'il était moqué comme le personnage de TF1 et de Rhône-Poulenc, le journaliste dresse un bilan réaliste.

Des dizaines et dizaines de tête à tête qu'il a eus avec Jacques Chirac, il n'est strictement rien sorti

« C'est un boy-scout. Il a parrainé le Grenelle et dit qu'il serait jugé à l'aune d'une mesure essentielle qui serait la taxe carbone, et il a osé prétendre que le Grenelle était un succès.

Il y a quelque chose de pathétique à voir un homme sincère dire que les choses vont très mal, mais faire comme si on avait 500 ans pour régler les problèmes. »

Pour Fabrice Nicolino, « il y a plus de chance qu'Hulot se présente [aux primaires d'Europe Ecologie, et à la présidentielle, ndlr] que le contraire », mais peu importe puisque cet homme « nous fait perdre du temps ». Par exemple, en n'étant pas mobilisé contre les gaz de schiste.

FNE, des « fonctionnaires bénévoles »

France nature environnement (FNE), fédération de 3 000 associations de défense de la nature spécialiste des inventaires de la faune et de la flore, a surtout un penchant pour les Légions d'honneur, note l'auteur :

« Les militants se sont fait fonctionnaires bénévoles. Serviteurs de l'Etat sans toucher le moindre salaire. Ils ont commencé à siéger dans une infinité de commissions locales ès qualité. Commissions départementales des Carrières, de l'hygiène, de l'urbanisme, des déchets, des sites, etc.

Ils y sont encore, sacrifiant nombre de soirées à ce qui ressemble furieusement à de pures et simples chambres d'enregistrement. »

Sans compter que le financement de FNE, publique à 65%, n'a rien pour assurer son indépendance.

« Qui a tué l'écologie ? » laissera sans aucun doute quelques traces dans le monde écolo. Comme l'écrit David Naulin sur le blog CDurable :

« Votre nouveau livre brise surtout toutes mes certitudes et je gage qu'il va provoquer le même électrochoc auprès d'un certain nombre de mes lecteurs. »

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