12 septembre 2013

Humour > La bible désapprouve-t-elle l’homosexualité ?

« Merci de mettre autant de ferveur à éduquer les gens à la Loi de Dieu. J’apprends beaucoup à l’écoute de votre programme et j’essaie d’en faire profiter tout le monde. Mais j’aurais besoin de conseils quant à d’autres lois bibliques.
Par exemple, je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. A votre avis, quel serait le meilleur prix ?
Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux mexicains, mais pas aux canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ?
J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Je suis obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ?
Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100% ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ?
Un de mes amis pense que même si c’est abominable de manger des fruits de mer (Lévitique 11:10), l’homosexualité est encore plus abominable. Je ne suis pas d’accord. Pouvez-vous régler notre différend ?
La plupart de mes amis de sexe masculin se fait couper les cheveux, y compris autour des tempes, alors que c’est expressément interdit par Le Lévitique (19:27). Comment doivent-ils mourir ?
Je sais que l’on ne me permet aucun contact avec une femme tant qu’elle est dans sa période de règles (Lévitique. 15:19-24). Le problème est : comment le dire ? J’ai essayé de demander, mais la plupart des femmes s’en offusque…
Quand je brûle un taureau sur l’autel du sacrifice, je sais que l’odeur qui se dégage est apaisante pour le Seigneur (Lévitique. 1:9). Le problème, c’est mes voisins : ils trouvent que cette odeur n’est pas apaisante pour eux. Dois-je les châtier en les frappant ?
Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, versets 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?
Je sais que vous avez étudié à fond tous ces cas, aussi ai-je confiance en votre aide.
Merci encore de nous rappeler que la loi de Dieu est éternelle et inaltérable.
Votre disciple dévoué et fan admiratif. »
 Culture générale > La bible désapprouve-t-elle l’homosexualité ?

11 septembre 2013

Global COOLING ?

Oui, oui vous avez bien lu ! Après des années à prévoir que la planète allait devoir s'habiller léger (et apprendre à nager), les climatologues nous conseillent à présent d'enfiler un pull.
Non seulement depuis 1997 on constate une pause, pas du tout prévue dans les modèles, du réchauffement climatique : +0,06°C constatés vs +0,25°C attendus (-76% pas mal comme marge d'erreur)... mais on assiste même à un refroidissement impressionant.
La preuve ? En un an, on constate une augmentation de 60% de la calotte glaciaire de l'Arctique ! Alors qu'il y a quelques années à peine les études s'accordaient à dire qu'on assisterait à une disparition totale de la banquise au Pôle Nord à l'horizon été 2013... la glace recouvre à présent l'Arctique sur une surface égale à la moitié de l'Europe, et ce alors même que l'hiver n'a pas encore commencé.
Du coup, l'agence de l'ONU de surveillance du changement climatique (IPCC) a dû, en catastrophe, retarder la sortie de son rapport sous la pression des gouvernements qui financent l'agence et qui pointent son incapacité à expliquer la pause du rechauffement, voire son inversion. On leur envoie Claude Allègre ?
 
Selon certains climatologues, les cycles longs de températures des océans suggéreraient que le monde se dirige vers une période de refroidissement comme il en a connu entre 1965 et 1975

10 septembre 2013

Le Monde.fr payé par Apple pour faire autant de pub en première page ? - Actualité à la Une

Le Monde.fr - Actualité à la Une

Asie-Pacifique : 25% des hommes reconnaissent avoir déjà commis un viol

Asie-Pacifique : 25% des hommes reconnaissent avoir déjà commis un viol

Oyster, l'application qui ambitionne de devenir le Spotify du livre - 20minutes.fr

J'y crois pas les éditeurs sont trop cons (comme les éditeurs de musique). Les journalistes encore plus qui ne "supportent" pas les liseuses et qui de toute façon ne payent pas plus les livres que la musique ou le ciné, le théatre. Voir même reçoivent des petits cadeaux pour parler de tel ou tel livre / film / pièce etc.... (corruption?) Oyster, l'application qui ambitionne de devenir le Spotify du livre - 20minutes.fr

Les bases neurologiques des “mèmes” : comment les idées deviennent-elles contagieuses ? « InternetActu.net

Les bases neurologiques des “mèmes” : comment les idées deviennent-elles contagieuses ? « InternetActu.net

Le gouvernement songe à exclure le football de la taxe à 75% ou du pain et des jeux le retour

Le gouvernement songe à exclure le football de la taxe à 75%

Impôt des riches : Qui croire ? Arte ou le Monde ?

Qui croire ? Arte ou le Monde ?

08 septembre 2013

Marseille: les politiques n'ont aucune solution alors ils brassent du vent

Marseille: Des renforts de police accordés avant la fin de l'année - 20minutes.fr

Salvo Montalbano - Wikipédia

Salvo Montalbano est un personnage de fiction récurrent de l'œuvre d'Andrea Camilleri, un commissaire de police de la bourgade (fictive) de Vigata (en fait Porto Empedocle), en Sicile. Il s'exprime dans un mélange d'italien et de sicilien, inimitable (exemple, il se présente en disant en italien Montalbano sono, litt. Montalbano, je suis, en mettant le verbe être à la fin de la phrase comme en syntaxe sicilienne). Ses colères, sa boulimie (pour les plats typiques, en particulier les arancini), son amour contrarié avec la Génoise Livia, ses enquêtes sur la mafia et sur les faits sociaux siciliens (drogue, réfugiés, faits divers) ont conquis le public italien. Une série télévisée (Il commissario Montalbano) sur le personnage a été diffusée sur la RAI.
Il tirerait son nom de l'auteur espagnol Manuel Vázquez Montalbán, dont Camilleri appréciait le personnage de Pepe Carvalho.


Salvo Montalbano - Wikipédia

Accueillons les étudiants étrangers, il n'y a pas de chomage en France

L'insertion des diplômés étrangers s'est améliorée depuis un an

L'Union européenne est-elle efficace contre la mafia ? - États membres


éopolitique du crime. Plus d’une centaine de policiers sont sur les dents. La salle a été passée au peigne fin par le service de déminage et les chiens spécialisés dans la détection des explosifs restent à proximité, au cas où. Une douzaine de personnalités sont attendues pour répondre à la question : l’Europe colonisée par la mafia ? Plusieurs des invités bénéficient en permanence d’une protection rapprochée, comme le procureur national anti-mafia Piero Grasso et l’eurodéputé italien Rosario Crocetta. Leurs gardes du corps passent leur temps à observer la salle – pleine de 450 personnes – et les alentours, en contact permanent via leur oreillette.

Italie, Florence (envoyé spécial)
BIENVENUE à Florence, dans le Nord de l’Italie, pays membre fondateur de l’Union européenne… Nous sommes à un colloque organisé par la Fondation anti-mafia Antonino Caponnetto, du nom d’un magistrat qui s’est distingué dans la lutte contre la mafia.
De quoi s’agit-il ? Une mafia est une organisation criminelle qui repose sur un engagement réciproque de ses membres et des règles internes. La violence est un moyen utilisé aussi bien pour acquérir des richesses que pour protéger l’organisation par l’intimidation. La mafia profite de la faiblesse de l’Etat pour s’imposer en jouant un rôle social, politique et économique. Elle développe des liens avec la classe politique régionale et nationale, notamment pour obtenir un accès privilégié aux marchés publics, voire bénéficier de l’impunité judiciaire. En soutenant financièrement certains hommes politiques durant leur campagne électorale, la mafia se place dans l’ombre du pouvoir, au plus près de la prise de décision mais derrière un rideau de fumée. Les ressources de l’organisation mélangent des activités illégales et légales, pour blanchir l’argent du crime.
Le procureur anti-mafia Piero Grasso ouvre le colloque : « En fragilisant les entreprises et en multipliant les faillites, la crise économique qui frappe l’Europe depuis 2008 offre de multiples opportunités aux mafias. En effet, il leur devient plus facile que jamais d’acquérir à bas prix des entreprises pour blanchir l’argent du crime et s’insérer dans l’économie légale. Lorsque leur affaire bat de l’aile, les entrepreneurs sont tentés de ne pas se poser trop de questions sur l’origine de l’argent et les conditions induites par cet investissement "tombé du ciel". D’autant que les moyens financiers de la mafia sont tellement importants qu’ils permettent à l’entreprise investie par la criminalité organisée de procéder à d’importants investissements qui assèchent la concurrence. Les sociétés contrôlées par la mafia deviennent les plus compétitives pour remporter les appels d’offre. Résultat, l’entreprise dans laquelle la mafia a investi se retrouve rapidement en situation de quasi monopole ».
Une mafia dispose toujours d’un ancrage territorial d’origine mais cela ne l’empêche pas d’agir très au-delà.

Quand les mafias s’exportent en France

Ainsi, la France est depuis longtemps investie par des groupes mafieux étrangers, notamment italiens, russes, arméniens, géorgiens, roumains, bulgare… Les policiers ont récemment mis la main sur une équipe de trafiquants de cocaïne missionnée par la mafia calabraise pour faire passer le produit entre l’Espagne et l’Italie en passant par le Sud de la France. La mafia russe s’installe depuis longtemps sur le littoral méditerranéen français et y achète de l’immobilier avec des valises de cash, sans que l’on sache d’où vient l’argent. La gendarmerie française a récemment démantelé un réseau roumain qui s’était une spécialité de voler le fret dans les camions de l’autoroute A1. L’Hexagone est aussi devenu une sorte de zone de stockage rapide et de transit pour la cocaïne et les drogues de synthèse venues de Pologne ou des Pays-Bas. La France se trouve aussi à la croisée des chemins des filières d’immigration clandestines tenues par les mafias. Les mafias chinoises et la mafia napolitaine collaborent pour fabriquer et écouler des produits de contrefaçon du luxe français.

Des succès récents en Italie

Pour autant, les services de police ne restent pas les bras croisés, comme en témoigne ces faits récents.
Le 19 novembre 2011, cent dix personnes ont été condamnées à des peines allant jusqu’à 16 ans de prison dans le cadre d’un maxi-procès anti-maffia à Milan, dans le nord de l’Italie. Elles appartenaient à la mafia calabraise, la Ndrangheta. Originaire des régions pauvres du sud de l’Italie, la Ndrangheta a fait des régions prospères du nord du pays « le poumon économique » de ses activités criminelles.
Le 7 décembre 2011, Michele Zagaria, chef du clan Casalesi – le plus redouté de la Camorra napolitaine - a été arrêté dans un bunker souterrain. Il était recherché depuis plus de 15 ans. Il a été accusé d’association de malfaiteurs de type maffieux, de meurtre, d’extorsion et de vol à main armée. Le chiffre d’affaire de la Camorra napolitaine avoisinerait 30 milliards d’euros par an. Spécialisées dans le secteur du bâtiment et des travaux publics, ses entreprises obtenaient des marchés dans toute l’Italie.
Le 14 décembre 2011, les carabiniers de Palerme (Sicile, sud de l’Italie) ont lancé un coup de filet contre les clans de la mafia palermitaine qui a conduit à l’arrestation de 22 personnes accusées d’association mafieuse, d’extorsion via l’impôt mafieux connu sous le nom de « pizzo », de trafic de drogue et de vol. Parmi les personnes arrêtées figure un policier à la retraite qui aurait par le passé averti un des boss de la mafia, Calogero Lo Presti, des enquêtes en cours.
Il reste cependant du chemin.

Que faire ?

Le procureur anti-mafia Piero Grasso considère qu’il est possible de faire plus et mieux : « Nous avons une partie du diagnostic et quelques moyens mais on ne s’en sert pas suffisamment parce que nombre d’accords importants pour mettre en œuvre une lutte contre la mafia à l’échelle européenne n’ont pas été ratifiés par tous les Etats membres. En Italie, l’auto-blanchiment n’est pas sanctionné par la loi. Face à une organisation criminelle très structurée, nous n’arrivons pas à mettre en place une organisation anti-mafia aussi structurée et cohérente. L’Italie ne fait toujours pas partie de l’Office européen de police (Europol), l’organisme chargé de la coopération en matière répressive entre les Etats membres de l’UE ! Certes, le procureur anti-mafia italien que je suis obtient au cas par cas des arrestations de criminels par d’autres polices européennes, mais cela repose sur la bonne volonté. Nous avons une marge de progression. »
L’eurodéputé italien Rosario Crocetta prend maintenant la parole : « Il faut désormais penser la lutte contre les mafias en termes globaux. Par exemple, il importe de se pencher sur les liens entre les mafias européennes et chinoises. En outre, cessons d’envisager de faire rentrer dans l’Union européenne des pays des Balkans comme le Monténégro qui reste incapable de lutter contre leur crime organisé ! Ils sont particulièrement actifs dans le trafic d’héroïne. La criminalité organisée nous oblige à réfléchir à une riposte globalisée. Il faut frapper les organisations criminelles au portefeuille, en confisquant leurs avoirs criminels. Soit nous pensons désormais en termes globaux et internationaux, soit nous laissons tomber, et basta ! »
Au nombre des progrès souhaitables, il est possible d’envisager que la loi italienne sur la séquestration des bien mafieux devienne une norme européenne. Cela permettrait d’attaquer la mafia au portefeuille et de l’affaiblir en conséquence. Il importe, aussi de lutter plus fermement contre la corruption, une pratique qui fait le jeu de la mafia et nuit à la démocratie. Pays fondateur de l’Union européenne, l’Italie reste un des plus corrompus. Et l’UE a été rejointe par des pays qui pour certains sont particulièrement inquiétants en la matière : la Grèce, la Roumanie, la Bulgarie… Ces deux derniers pays sont particulièrement actifs dans les activités criminelles des Balkans qui se trouvent à proximité de l’UE.
Il manque encore à ce jour un projet européen pour lutter contre la criminalité organisée. Dans ce contexte de crise économique, lutter contre les mafias servira non seulement à ressouder le tissu social mais aussi à réduire un des freins qui ralentissent la croissance.
Copyright 2012-Verluise/Global Brief
Cet article a été initialement publié sous le titre "L’Europe colonisée par la mafia ?"dans la version papier de la revue canadienne Global Brief, winter 2012, pp. 26-27.


L'Union européenne est-elle efficace contre la mafia ? - États membres

Andreotti a été mafieux! | La Cité

C’est au plus fort de la propagande médiatique, réécrivant les conclusions du procès de Giulio Andreotti pour complicité d’association mafieuse, que Gian Carlo Caselli, ex-procureur de Palerme, s’est senti obligé de sortir de sa réserve: Ma Andreotti è stato un mafioso! (Andreotti a été mafieux!). La précision du magistrat, qui avait joué un rôle clé dans la procédure, avait été publiée en une du quotidien national La Stampa.
C’était en automne 2004. Le public italien, submergé par un flot de désinformation à jet continu, assistait à l’un des plus énormes mensonges jamais colporté dans l’histoire de l’information: l’acquittement d’Andreotti.
La justice était, elle, parvenue à une conclusion de culpabilité avérée et définitive. L’ex-premier ministre a bel et bien entretenu, durant plus de dix ans au moins, des liens fructueux avec la mafia sicilienne, mais il est sauvé par la prescription. Gian Carlo Caselli tente de rétablir cette vérité. Mais le mal est fait.
En 2004, le champ médiatique est dominé par un certain Silvio Berlusconi, qui tient également les rênes du gouvernement italien. Sous son règne, l’action de l’Etat a été plutôt clémente envers le phénomène mafieux, «une réalité avec laquelle il faut apprendre à cohabiter», affirmera son ministre des Transports de l’époque.
Les liens indirects du Cavaliere avec cosa nostra ont émergé dans une dizaine de procès, particulièrement dans celui contre son bras droit historique, le sénateur Marcello Dell’Utri, créateur de Forza Italia, le parti qui a propulsé Berlusconi dans l’orbite du pouvoir politique. Reconnu coupable de complicité avec la mafia, Dell’Utri pourrait, lui aussi, être sauvé par la prescription.
Gageons que, dans un pays où l’information se déforme plus qu’elle ne se réforme, les médias entonneront à l’envi le refrain de l’acquittement, au mépris de la vérité des faits.
L’efficacité de la méthode dépasse les frontières, et elle marche à merveille. Neuf ans plus tard, la légende de l’acquittement d’Andreotti est encore bien incrustée dans les rédactions suisses*.
Mais l’essentiel est ailleurs. Oublier ou passer sous silence la complicité d’un Andreotti avec la mafia trahit probablement la peur de regarder en face l’étendue du cancer. En Italie, les ramifications mafieuses dans la politique dépassent l’entendement. Au point de paralyser les esprits?
Les investigations sur la «trattativa», la négociation entre l’Etat et cosa nostra au début des années 1990, touchent aujourd’hui le sommet de la pyramide. Le fils d’un ancien maire de Palerme proche du clan Andreotti affirme que Forza Italia était le fruit d’un pacte avec la mafia, et que Dell’Utri en était le médiateur. Il fonde ses déclarations sur les confidences de son père. Le dernier legs de l’héritage d’Andreotti.
* Andreotti et la mafia, les médias romands oublient l’essentiel,
dans La Cité n° 17 / An II, pages 2 et 3


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